Quand Charles Lindbergh pour la première fois a traversé
l’atlantique dans son Spirit of St. Louis en 1927, c'était une sensation. Cent
ans plus tard, en 2027, serait-il possible de faire la même chose avec un avion
électrique ?
L’an dernier Airbus a présenté un avion électrique
capable à voler 50 min, qui est assez pour traverser la manche, ce qui aussi a
été fait. Pourtant, un vol conventionnel entre Paris et New York dure 8,5
heures et cela avec une rapidité de 75% de la vitesse de son. L’écart semble
énorme. Mais, les batteries les plus puissante qui sont dans le collimateur,
métaux – air ont théoriquement presque la même densité d’énergie que le kérosène. De plus, un moteur électrique tourne avec 3 –
5 fois plus de rendement qu’un moteur
thermique.
Cependant, à part de spéculer, les connaisseurs du
domaine sont sur que des transports aériens électriques ont un avenir très
croissante. Les vols de distribution de paquets avec drone n’est plus une
nouveauté, ils sont déjà
pratiqués en Island. La prochaine étape est de transporter des passagers
sur courtes distances, par exemple entre un aéroport et centre-ville. Mais,
pour la réalisé il faut des avions capable à décoller et atterrir
verticalement. Un premier prototype a déjà volé et la prochaine étape est de
concevoir un engin pour 5 passagers.
De plus, il semble que ces hybrides entre avions et
hélicoptères ne consommeraient pas plus d’énergie qu’une voiture. Car, leurs
trajectoires sont plus courtes et pour une vitesse comparable la résistance
d’air et la même.
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