D’arrêter à conduire une voiture ou manger de la viande
sont des moyens proposés pour sauver la planète. Cependant, comparé avec une
réduction d’enfants, les efficacités de ces mesures sont toutes petites.
De bouder des voitures, acheter bio et se mettre sur énergie
solaire sont bien sûr des bonnes choses pour l'environnement. Mais, selon
un nouveau rapport scientifique, et certainement provocateur, la meilleure
façon de lutter contre le changement climatique est de produire moins
d'enfants.
Des chercheurs suédois et canadiens ont comparé 31 choix de style de vie dans pays industrialisés, pour chiffrer ceux qui sont les meilleurs pour le climat.
Des chercheurs suédois et canadiens ont comparé 31 choix de style de vie dans pays industrialisés, pour chiffrer ceux qui sont les meilleurs pour le climat.
La conclusion est que moins d’enfants conduits aux plus
grandes réductions de CO2. Cette mesure est suivie par l’abstention
de voitures, en évitant des transports aériens et en mangeant plus
d'aliments végétaux.
Voici quelques chiffres pour sur les réductions de CO2
présentés :
Remplacez les sacs en plastique par un sac en
tissu : 11 kg/an
Arrêtez de manger de la viande : 1 000 kg/an
S’abstenir d’un enfant :
65 000 kg/an
Les chiffres sont basés sur l’impact de gaz à effet de
serre qu’un enfant et sa progéniture mettraient dans l'atmosphère suite à leur
vie quotidienne. Dans le calcul les émissions de la progéniture pèsent à le
moitié sur ces parents et cetera.
Mais, tout
le monde n’est pas d’accord. Bastien Girod, chercheur en développement
durable à l’École polytechnique fédérale de Zurich, n'est pas convaincu que les
familles plus petites soient la solution. « Même si la planète se
sentirait mieux, notre société terminerait par s'effondrer si tout le monde finissaient
d’avoir des enfants ».
« Les gens veulent réduire les émissions environnementales, mais ils vont commencer là où ça fait le moins mal », et il ajoute que le plus grand effet est si beaucoup de gens font de petits pas au lieu de faire des changements drastiques dans le style de vie.
Il fait aussi valoir qu'il soit possible que nos propres enfants arriveront à une manière plus efficace pour protéger la planète.
« Les gens veulent réduire les émissions environnementales, mais ils vont commencer là où ça fait le moins mal », et il ajoute que le plus grand effet est si beaucoup de gens font de petits pas au lieu de faire des changements drastiques dans le style de vie.
Il fait aussi valoir qu'il soit possible que nos propres enfants arriveront à une manière plus efficace pour protéger la planète.
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