Une révolution numérique dans l'agriculture

L'agriculture est actuellement confrontée à une numérisation massive. Des collections de donnés fournira aux agriculteurs de conseilles essentielles qui considérablement augmenteront leurs récoltes.

Des informations sur les récoltes antérieures et des données actuelles sur la teneur en azote, teneur en humidité et type de sol, combiné avec un positionnement GPS, rendront possible pour les agriculteurs à contrôler leurs semoirs avec précision afin de maximiser le rendement des cultures.

Avec de la technologie disponible en 2012 des expériences suédois  ont montré qu’il est possible de augmenter la récolte de 47 à 91% pour champs semés de colza, avoine, orge et blé. Le potentiel est donc énorme.

La technologie pour ce genre d’agriculture de précision a déjà une certaine prolifération, en particulier aux États-Unis. Une nouvelle génération de machines modernes est maintenant en train d’entrer sur le marché. Les avancées technologiques qui les ont rendus possible sont entre autres des capteurs moins chers et un réseau mobile couvrant des lieux autrefois moins intéressantes pour les opérateurs.

Les agriculteurs unis de la Suède, un genre de syndicat, a ouvert un portail de service pour agriculture numérique. Il donne des conseils pour la technologie disponible. Actuellement il a environ 500 membres mais l’intérêt et tel qu’ils probablement soient 6000 à la fin de 2017.

Un important problème est que des normes internationales et ouvertes n’existent pas. Ce délai d’internationalisation fait que les outils informatisés ne sont pas toujours compatibles.

L'Allemagne a pris l'initiative d'établir une norme mondiale. Le travail a débuté en mai 2017 avec le but de finir dans 4 ans. Cette norme sera surtout ciblée pour des exploitations familiales du type qui est commun en Europe. La Belgique, les Pays-Bas, l'Italie, la France participent aussi et les responsables épièrent que des pays Scandinaves bientôt réjouiront.

Voici les principaux buts de cette standardisation :

1.

Chaque agriculteur obtient l'accès à un service de portail qui gère toutes les informations intéressantes pour lui. Il doit être possible de librement changer fournisseur et d’apporter les anciennes informations au nouveau fournisseur.

2.

Toutes les machines informatisées doivent avoir le même protocole de communication.

3.

L’information doit être possible à présenter sur téléphones mobiles, tablettes ou ordinateurs personnels.

4.

Les informations du cadastre, position géographique, météorologiques et les données agricoles doivent être combinées de telle sorte que l'agriculteur peut recevoir un flux d'informations automatiques pour les domaines où des opérations sont en cours.

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