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vendredi 30 juin 2017

Nous sommes constamment mis à jour


Nous oublions des choses et c’est toujours pénible. Faut-il blâmer le fabricant de nos cerveaux ? No, la conception est bonne disent les scientifiques de l'Université de Toronto. Pour mieux pouvoir fonctionner dans le quotidienne la cause fondamentales de nos manques de mémoire est que nos cerveaux sont fait pour constamment être mis à jour.

L’hypothèse est que la mémoire n’est pas censée pour être une encyclopédie sur deux pieds mais simplement un outil évolué pour améliorer nos décisions. En autres termes, de trouver la meilleure façon de franchir l’étape entre A et B en considérant toutes les paramètres pertinents. Il implique que la mémoire doit être optimisée pour supprimer des éléments qui n’ont plus d’actualité. Par exemple, un ancien code de passe pour une porte. L'oubli a une fonction important.

Il existe des nombreuses études sur notre mémoire. Mais, elles considèrent toutes l'oubli comme une erreur de quelque sorte et cela probablement parce que nous détestons d’oublier des choses. Cependant, les scientifiques canadiens voulaient comprendre les mécanismes derrière l'oubli et ils ont pu constater que l’oublie dans certains cas joue un rôle important dans nos vies.

Une étude récente a montré que la croissance de nouveaux neurones dans l'hippocampe semble favoriser l'oubli. Cette partie du cerveau génère plus de cellules chez les jeunes que chez les plus âgés, que signifie que les plus jeunes oublient plus. Pour un adulte il n’est par conséquence pas possible de se souvenir de faits qu'il a vécus avant l’âge de 4 ans.

Le monde qui nous entoure change constamment et beaucoup d'informations que nous avons stockées dans nos mémoires deviennent vite dépassées. En se souvenant de tout, nous risquons des situations qui rendraient nos vies plus conflictuelles. Car, il n’est pas de tout sûr que les expériences dans le passées devraient avoir un rôle majeur dans les décisions d'aujourd'hui. D’oublier quelques détails mineurs du passé nous permettons à mieux nous concentrer sur des faits plus généraux qui sont beaucoup plus faciles à gérer. C'est pourquoi les humains ont développé le mécanisme d’oublier certaines faits du passé. Il est simplement plus facile à faire face au monde en constante évolution avec des mémoires plus récentes.

Ce fonctionnement ressemble les mis à jour pour ordinateurs mais chez la race humaine ils sont incessantes.

Cependant, il n'est pas que ces scientifiques font valoir que la perte de mémoire n'est pas un problème réel. Mais, de mieux comprendre les oublies pourrait conduire à des solutions.
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jeudi 29 juin 2017

La dernière voiture fossile sera vendu 2024 !



La dernière voiture fossile sera vendue en 2024. C’est une prédiction américaine mais d’autres spécialistes du domaine ne sont pas d’accord.

Beaucoup de monde tente de prédire la rapidité dont la flotte de véhicules s’électrifiera. Cependant, toutes ces divinations sont faites avec un œil dans une boule de cristal, car la future des voitures électriques dépende beaucoup aux innovations qui ne sont pas encore fait. Dans toute la disparité de prédictions le groupe de réflexion américain Rethinkx se distingue amplement. Dans un rapport, Rethinking Transportation 2020-2030, il prédit un changement très rapide.

Leur prédiction :
La dernière voiture fossile en États-Unis sera vendue en 2024. La flotte de véhicules abaissera de 247 à 44 millions, tandis que le nombre de personne-kilomètres augmentera de 50%.

C’est une prédiction très radicale et dans le rapport les auteurs font valoir que l’usage des voitures comme nous le connaissons deviendra obsolète.

Au lieu apparaîtra ce qu’on peut décrire comme un Spotify pour voitures. C’est-à-dire un service, « Transportation As A Service, TAAS », en français   transport comme un service ou simplement dit voitures partagées. Elles seront utilisées plus efficacement et donc à un coût réduit. La flotte fossile existant en 2024 continuera à rouler encore quelques années mais en 2030 presque tous les transports routiers se feront sans carburant liquide.

Selon Rethinkx ce changement ne se sera pas propulsé par souci d’émissions CO2 et les changements climatiques mais à cause réductions des coûts. Le rapport fait valoir que cet effet n’a pas été vu par d’autres groupes qui essayent à prédire l’avenir. Dans le rapport de Rethinkx il est estimé que le TAAS pourra offrir des voyages 4 fois moins chères, par rapport à un achat d’une voiture, déjà en 2021.

Les spécialistes du domaine suédois sont moins exaltés. Ils projettent qu’il aura un important taux de voitures électriques en 2030 mais que le développement sera plus lent pour camions et autocars.
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mercredi 28 juin 2017

Le cube volant capable à attraper toutes les balles



En mai cette année l'ETH à Zurich présentait leur « Omnicopter ». La plupart des hélicoptères de ce type n’ont que 4 hélices tournées par moteurs solidement fixés dans la structure. Les manœuvres possibles sont par conséquence un peu limités. Cependant le drone suisse peut gérer aussi bien en toutes directions.

L’Omnicopter est compose d'un cadre carré avec 8 hélices placé autour d’une sphère imaginaire dans le centre. Le fait qu'elles soient orientées dans toutes directions donne le drone une manœuvrabilité exceptionnelle. Ce trait en combinaison avec de l’intelligence artificielle, rend aussi le positionnement très précises et la réaction très rapide.

Pour démontrer la capacité de l'algorithme des étudiantes l’ont enseigné à attraper une balle. Lorsque la balle, dans une manière aléatoire, est jetée dans l'air le drone calcule 10 000 façons différentes à l’attraper dans la petite épuisette, puis il sélectionne le manœuvre qui exige le moindre effort. Le tout est fait en 20 millisecondes.
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mardi 27 juin 2017

Éoliennes offshore, mieux que leur réputation


C’est plus coûteux à construire des éoliennes dans la mer que sur la terre. Par conséquent, les analystes ont fait valoir que l’idée d’éoliennes offshores est morte. Mais, un changement et peut-être en cour et la raison principale est l'évolution technologique du domaine ces dernières années.

Le coût de l'énergie éolienne offshore en Europe a fortement diminué. D'un niveau d'environ 100 €/MWh au début de 2016 les dernières devis aux Pays-Bas et Allemagne sont autour de 50 €/MWh. Comparé avec le prix d’électricité pour ménager offert par EDF de 89 €/MWh, HT, ce niveau semble concurrentielle.

Selon l'organisation de l'industrie européenne Wind Europe, il y plusieurs raisons. Tout d'abord, le coût du capital d'emprunt a chuté. Mais, l'industrie a aussi mûri et supprimé des obstacles tels que le manque de bateaux et grues. Le fait que les éoliennes maintenant sont construit plus loin dans la mer, où les vents sont plus forts, et que la puissance des éoliennes est devenu plus important a aussi contribué à la chute des prix.

Il n'y a pas si longtemps que les turbines avaient une puissance maximale de 3 MW, mais en 2016 elle a été de 6 MW et cette année de 8 MW. En 2021 elle sera probablement à 13 ou 14 MW. Quand la puissance augmente il y a besoin de construire moins de turbines qui réduit le prix par kWh produit.

La technologie de transport de courant électriques a également amélioré. Maintenant il est fait par courant continue de haute tension.

Dans l'avenir il y aura aussi plus de progrès technologiques qui d’avantage peuvent réduire les coûts. Une nouvelle conception de construction a par exemple été testée. Au lieu de transporter les fondations en béton sur des chalands, elles peuvent être construites flottant et remorqués sur place d’où elles ensuite pour couler sont rempliées de sable et rochers. Cette procédure rend la présence d’une grue obsolète.

Les turbines deviennent aussi de plus en plus numérisées. Des nombreux capteurs indiquent la condition des composants importants, qui rend possible de mieux planifier la maintenance.

Dans un rapport Wind Europe indique que les éoliennes en mer ont un grand potentiel en Europe. Donné le cadre réglementaire actuel les auteurs font valoir que 25% de la demande d'électricité en UE pourrait être couvert par éoliennes en mer par 2030, à un coût de 54 €/MWh.

L'un des principaux arguments en faveur de la construction des éoliennes dans la mer est que les vents sont plus lisses et plus forte que sur terre. Pour la génération offshore le facteur de capacité, une mesure de la production moyenne par rapport à la maximale, est de 42% à comparer avec les 30% sur la terre.

Cependant, les éoliennes flottantes, qui sont nécessaire quand la profondeur de la mer dépasse les 50 m, sont encore dans une phase expérimentale.
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