Le substantif shill est en anglais utilisé pour une
personne qui, sans ouvertement l’exprimer, agisse au nom d'une autre personne
ou une organisation. Dans le monde anglophone ce mot est maintenant fréquent
dans les réseaux sociaux. De plus, il sert à attirer des trolls.
Des
chercheurs en psychologie à l'Université de Huddersfield ont étudié des
échanges sur Twitter sur un sujet de la disparition d’une femme nommé Madeleine
McCann. Elle est disparue au printemps 2007 lors d'un séjour en Portugal. Son
sort reste inconnu.
Des nombreuses hypothèses circulent dans les réseaux sociaux sur ce qui s’est réellement passé. Malgré que l’affaire a 10 ans de nombreuses personnes sont impliquées dans la discussion. Certaines partagent le deuil de la famille McCann, d'autres les blâment pour la disparition.
Des nombreuses hypothèses circulent dans les réseaux sociaux sur ce qui s’est réellement passé. Malgré que l’affaire a 10 ans de nombreuses personnes sont impliquées dans la discussion. Certaines partagent le deuil de la famille McCann, d'autres les blâment pour la disparition.
Ceux qui défendent la famille McCann sont exposés d’une variété d'insultes et d'abus. Bien que les messages dépassent les règles d'utilisation de Twitter, il est rare qu'ils soient effacés.
Plusieurs utilisateurs affirmaient comme raison de leurs
soupçons contre la famille McCann que la police avait utilisé un chien qui
aurait marqué pour un cadavre dans l'appartement où vivaient la famille dans
pendant leur vacance. Les chercheurs se sont engagés dans ce débat.
Pour mieux pouvoir étudier le débat un des chercheurs a dans
un message écrit qu’une étude montre que les chiens renifleurs souvent font des
erreurs quand la température est élevée.
Pourtant, aucune discussion sur la fiabilité des chiens renifleurs n’a suivi. Au lieu, les trolls ont répondu avec des insultes et des attaques et l'écrivain a été accusé d'être un shill.
Ce shill a fonctionné un appât. Dé que ce mot avait été collé sur le chercheur, de plus en plus d’utilisateurs se sont engagés dans la discussion et l'intérêt à discuter la substance est devenu presque inexistante. Au lieu de il y a eu une pluie d’insultes.
Pourtant, aucune discussion sur la fiabilité des chiens renifleurs n’a suivi. Au lieu, les trolls ont répondu avec des insultes et des attaques et l'écrivain a été accusé d'être un shill.
Ce shill a fonctionné un appât. Dé que ce mot avait été collé sur le chercheur, de plus en plus d’utilisateurs se sont engagés dans la discussion et l'intérêt à discuter la substance est devenu presque inexistante. Au lieu de il y a eu une pluie d’insultes.
Vers la fin de l'étude les chercheurs twitteurs ont révélé
leurs identités et leur but. Les insultes continuaient mais elles changeaient
de caractère. Entre autres, les chercheurs étaient maintenant accusés de ne pas
pouvoir écrire et pour être des mauvais professionnelles.
Les accusations de mauvais langage ont selon les chercheurs été particulièrement notables, car la plupart des trolls se formulaient souvent mal et faisaient des fautes d’orthographes.
Il est clair que ce genre de débats, sous anonymat, ont une
tendance de soulever les côté les plus sombre d'une personnalité. Cependant, il
semble aussi exister des règles. D’être un shill, c’est-à-dire intervenir avec
un agenda caché, est la pire chose qu’une personne peut faire.
Une conclusion de l’étude sur agressions et insultes dans les réseaux sociaux est que les trolls ne doivent pas attirer l'attention des médias traditionnels. Parce que ce que veulent les trolls c’est l'attention. Leur exposition agira plutôt comme un carburant qu'un moyen d'essayer à nuancer le débat.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire
Remarque : Seul un membre de ce blog est autorisé à enregistrer un commentaire.