Près de 60% de tous les textiles portés en Suède sont perdu
dans les ordures ménagères. Pourtant, même déchirés, usés et ne pas assez bon
pour des boutiques d’occasions, les fibres peuvent être utilisé dans des nouveaux
produits.
Jusqu'à 9000 tonnes de textiles utilisés sont collectionné chaque
année. Environ 60% sont réutilisables et elles sont vendus par différents moyennes.
Mais, parmi le reste une grande partie est bonne pour recyclage.
Un des problèmes avec le recyclage est qu'il n’existe pas des méthodes à grande échelle qui, avec précision, automatiquement peuvent trier selon types de fibres. Mais, une machine, nouvellement développé et supporté par Institut Suédois de Recherche sur l'Environnement, sera éventuellement capable à le faire. Les tests viennent de commencer.
Un des problèmes avec le recyclage est qu'il n’existe pas des méthodes à grande échelle qui, avec précision, automatiquement peuvent trier selon types de fibres. Mais, une machine, nouvellement développé et supporté par Institut Suédois de Recherche sur l'Environnement, sera éventuellement capable à le faire. Les tests viennent de commencer.
Les vêtements sont placés sur une bande transporteuse qui passe
en dessous des capteurs de la lumière infrarouge. Les objets sont éclairés par des
rayons infrarouge qui sont réfléchi différemment en fonction du type de fibre. Cette
lumière rebondie est enregistrée par les capteurs. Le système calcule le
matériau qui contient le « bon » type de fibre selon le programme en
cours d'exécution. Puis, l'air comprimé souffle les bons tissus vers un
récipient.
Le logiciel peut par exemple contrôler si les textiles contiennent au moins 80% du coton ou si elles seulement sont de polyester. Actuellement il existe 15 types de programmes mais plus sont en cour de développement.
Le logiciel peut par exemple contrôler si les textiles contiennent au moins 80% du coton ou si elles seulement sont de polyester. Actuellement il existe 15 types de programmes mais plus sont en cour de développement.
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Un autre institut de recherche est en train d’examiner une
technologie concurrente. Elle est basée sur des étiquettes RFID cousues dans
les vêtements et programmées avec des informations sur les matériaux, les
produits chimiques restant et le système de coloration.
L’avantage est que ces étiquettes sont lisible a une
distance jusqu’à 2 mètres. Le défi est de les rendre si robustes qu’elles
supportent plusieurs lavages et repassages.
À part de cette difficulté il faut aussi arriver à une norme
international.
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