Ces jours on en parle beaucoup de voitures autonomes. Parce
que les premiers prototypes déjà roulent sur les routes nous avons l’impression
que cette idée, « ce rêve » est en train de se réaliser dans un
proche avenir. Qui ne veut pas avoir une voiture qui n’a pas besoin d’être
guidé et qui sait se stationner tout seul, des habilités qu’on autrefois
pensait soient impossibles ?
Pourtant, dès que le développement progresse beaucoup de
problèmes qui doivent être franchi commencent à apparaitre.
Un est que l’autoguidage seulement est fiable quand les
conditions sont bonnes. En cas de brouillards, neiges et
caméras éblouis par le soleil, le bon fonctionnement n’est pas garanti.
Il y a aussi un problème avec les composantes électroniques.
Actuellement elles sont du même type que dans les appareilles électroniques ménagers,
qui ont un duré de vie de quelques années. Par contre, une voiture est conçue
pour rouler pendant environ 15 ans. De plus, les conditions environnementales pour
les composants électronique sont loin d’idéales. Car ils doivent supporter des
températures extrêmes, des vibrations et de l’humidité.
Un important souci additionnel est la législation. Le droit
pénal actuel est basé sur l'idée qu’une personne accusé est capable à penser
par soi-même, à comprendre les conséquences de ses actes et à distinguer des
actions morales de les non morales. En bref, la situation législative n’est pas
facilement applicable aux véhicules hautement automatisés. Cependant, il y a
une volonté politique de dans un proche avenir rendre possible pour ces
véhicules à circuler sur les routes.
Les actions que le législateur pourrait utiliser pour
s’adapter du développement est d'introduire des exigences sur les logiciels,
les composantes et l’obligation d’équiper les voitures autonomes avec le
correspondant des boîtes noires des avions.
Il n’est donc pas impossible que nous nous approchons vers
les exigences utilisés pour des satellites, qui sont super-restreintes.
Il soit éventuellement possible d’argumenter que les
voitures autonomes radicalement diminuent des accidents
et que le taux d’incidents causés par défaillances dans les systèmes automatiques
est un prix à payer. Mais, comment faire la différence entre des pures
négligences et des œuvres de la fatalité ?
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