Est-ce que une queue aurait pu permettre à des vertébrés
anciens à faire la transition de l'eau à la terre ? Pour répondre à cette
question des scientistes on fait une
étude novatrice.
L'hypothèse testée est que la queue aurait joué un rôle
important dans l'évolution des vertébrés terrestres dans le sens qu’elle rendait
possible à stabiliser le corps dans l’environnement
terrestre. L’interrogation a réuni des experts en physique, biologie, robotique
et mathématiques, qui ont exploré la question par une variété de méthodes
expérimentales.
Tout d'abord, ils ont exploré les mouvements de
l’oxudercinae africaine. C’est un poisson amphibie qui vit dans des zones marée
près de rivages et utilise ses nageoires avant, supporté par des agitations de
leurs queues, pour se déplacer sur la terre. L’oxudercinae est l'un d'une
poignée d'animaux vivants ayant une structure corporelle potentiellement proche
aux les premiers vertébrés terrestres.
En laboratoire les mouvements de ce poison ont été enregistrés dans un environnement semblable aux berges où les premiers animaux terrestres peut-être ont vu le jour. Il a été observé que si les oxudercinaes utilisent leurs queues en montant une pente de sable assez incliné, ils réussissent très bien mais quand ils ne le font pas ils échouent.
En laboratoire les mouvements de ce poison ont été enregistrés dans un environnement semblable aux berges où les premiers animaux terrestres peut-être ont vu le jour. Il a été observé que si les oxudercinaes utilisent leurs queues en montant une pente de sable assez incliné, ils réussissent très bien mais quand ils ne le font pas ils échouent.
Ensuite, les chercheurs ont développé un robot qui dans une
façon simplifiée est capable d’imiter les mouvements du oxudercinae, appelé MuddyBot.
Parce que programmable, les chercheurs pouvaient systématiquement varier les mouvements
des nageoires et de la queue. Le bût était de savoir quelles mouvements coordonnés
qui rendaient Muddybot le plus performant pour la tâche de monter sur une
pente de sable. Ils ont appelé cette approche « robophysics », une
nouvelle manière de comprendre le comportement des espèces perdu depuis
longtemps.
Enfin, ils ont utilisé une méthode mathématique
appelée : mécanique géométrique, (elle a été développés dans les années
1980 par le physicien et lauréat du prix Nobel Frank Wilczek et son élève
Alfred Shapere), pour analyser toutes les manières possibles dont l'MuddyBot
peut se déplacer sur différentes surfaces. Cela a permet de déterminer quels
types de mouvements qui peuvent, ou ne peuvent pas, rendre possible
pour une espèce de se tirer vers le haut sur une pente sablonneuse. Ce
processus a également servi à développer une meilleure compréhension de la
physique de sable et de la façon dont un milieu granulaire peut compresser ou
glisser quand un animal essaie de monter sur une pente.
La conclusion à partir de ces expériences a conduit à
l'hypothèse que l'utilisation de propulsion par la queue possiblement serait une
adaptation critique qui a permis les premiers marcheurs sur la terre de se
déplacer.
Il n’est impossible de conclure avec certitude si les
premiers locomoteurs ont utilisé la méthode de l’oxudercinae. L'équipe est maintenant
en train de concevoir d’autres robots avec le bût de tester des possibilités
alternatives, y compris robots avec des mouvements typique pour les
salamandres, qui déplacent leurs pieds diagonalement.
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