Une condition préalable pour
que un panneau photovoltaïque fonctionne bien est qu’il tant mieux que possible
absorbe les rayons solaire. Pour les cellules classiques, basées sur silicium,
il n’est pas un important problème parce qu’elles sont assez noir mais il n’est
pas le cas pour les cellules organiques, basé sur polymères.
Il est dans le monde de plantes que des chercheurs
maintenant explorent des solutions à ce problème. Les plantes ont tous leurs
astuces pour capturer la lumière et ils ne le font pas exclusivement par
pigmentation. C’est pourquoi les chercheurs se sont intéressés de l'effet antireflet
causé par les cellules épidermes de plantes différentes. Cette propriété est particulièrement
prononcée dans des pétales de roses. Dans ce cas la fonction n’est pas d’augmenter
la photosynthèse mais de fournir un contraste qui le rend plus visible et augmente
la probabilité de pollinisation.
Vu par un microscope électronique l'épiderme de pétales de
rose se compose d'un arrangement désordonné des microstructures denses, avec
des nervures supplémentaires formées par nanostructures positionnées au hasard.
Afin d’exactement reproduire cette structure sur une surface,
les scientifiques ont d’abord créé un moule avec un polymère à base de silicium.
Puis, cette empreinte négative a été remplit d’un colle optique qui durcisse en
présence de lumière UV.
Le couche si formé a ensuite été placé sur une cellule
solaire organique. Ce fait a entraîné une augmentation du rendement de 12% pour
lumière perpendiculaire. Pour angles d’incidences les
gains de rendement étaient encore plus élevés.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire
Remarque : Seul un membre de ce blog est autorisé à enregistrer un commentaire.