Il est évidement possible pour le consommateur d’impacter les
objectifs qui servent à réduire le réchauffement climatique. Deux mesures sont
particulièrement efficaces. Un est de remplacer le lait avec une boisson fait
d'avoine et l’autre de ne plus consommer le bœuf. Cependant, tout aussi
important est d’améliorée la technologie de la production alimentaire.
L'objectif suédois pour atténuer les
effets du réchauffement de la planète est pour 2050 une diminution des
émissions de 85% par rapport à 1990. Pourtant, la transition prendra du temps
et il faut surtout savoir quelles mesures qui sont les plus efficace. C’est
pourquoi des chercheurs chez Chalmers, Göteborg, maintenant ont publié un
rapport sur le secteur de l'alimentation et l'agriculture.
Deux facteurs ont surpris les chercheurs. Un est qu'il existe tant de différence d'émissions entre types de viande. Le bœuf émet 23-39 gaz/kg, l’agneau 13-22 gaz/kg, le porc 5-8 gaz/kg et le poulet 2-3 gaz/kg. L’autre est que les déchets alimentaires ont très peu d'impacts.
Deux facteurs ont surpris les chercheurs. Un est qu'il existe tant de différence d'émissions entre types de viande. Le bœuf émet 23-39 gaz/kg, l’agneau 13-22 gaz/kg, le porc 5-8 gaz/kg et le poulet 2-3 gaz/kg. L’autre est que les déchets alimentaires ont très peu d'impacts.
A confondre le bœuf avec le poulet est donc comme à comparer
une voiture à essence avec une voiture électrique. Il sera toujours bon de ne pas
jetez de la nourriture, mais l'effet sur les émissions de gaz à effet de serre
est limité.
En plus de réduire la consommation de bœuf et produits
laitiers, il est dans la production qu’il est possible de substantiellement
diminuer les émissions. Selon les chercheurs le potentielle est de 50%.
Une façon de concrètement presque éviter toutes les
émissions à partir du fumier est par exemple d’utiliser des puits de fumier
couverts. Ce mesure arrête la formation d'oxyde nitreux et permet de capturer
le méthane. Donnés des incitations fiscales cette méthode serait aussi
économiquement intéressante pour les agriculteurs.
Les émissions provenant de la production d'engrais peuvent selon
les chercheurs être réduits à 50%, à condition que les usines utilisent les derniers
progrès technologies.
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