Une voiture entière, de la nourriture comestible et de la
peau humaine. Il ne semble pas exister des limites à des choses que les imprimantes
3-D peuvent produire. Cependant, jusqu’à maintenant il a été impossible
d’imprimer des cheveux.
La limite n’est pas dans l’impriment 3-D lui-même, ils sont capables
de former des structures extrêmement fines, mais dans la programmation. De définir
les brins d’une fourrure un par un avec un logiciel, nécessiterait une quantité
de temps énorme. C’est pratiquement infaisable !
Nous, les humains, n’ont pas grand-chose comme chevelure mais
l’évolution nos a quand même laissé un peu sur la tête. Chez une jeune personne
le nombre semble dépendre du couler, les blondes ont 140 000, les brunettes108 000
et les roux 90 000 brins sur la tête.
Pour imprimer des cheveux à l'aide des logiciels existants,
les concepteurs doivent modéliser les brins en CAD, puis le mettre dans un autre
logiciel qui les représente comme un maillage de petits triangles, suivant par
un troisième logiciel qui crée des
sections horizontales du maillage et les interprète comme un collection de pixels
qui est l’information que l’imprimant 3-D a besoin pour être capable de
imprimer un chevelure couche par couche.
La solution du problème, qui a été développé
chez MIT, est informatique. Elle commence dans Photoshop, puis il a fallu
développer un logiciel qui à partir de ce donné et divers paramètres comme la
densité et la taille génère un code lisible pour l’impriment 3-D.
Des cheveux sur des surfaces plats sont les moins compliqué.
Mais, avec encore plus de développement informatique les chercheurs ont aussi
réussi avec des surfaces courbés.
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