L’ébullition est un des plus
efficaces manières de refroidir une surface et dans le monde qui nous entoure
il bouille beaucoup. Le plus apparente est dans les casseroles, qui avec le vu
d’un thermicien, comme moi, sert à refroidir le poêle.
Dans les frigos il bouille aussi mais dans ce cas c’est un liquide qui se
vaporise à bas température.
Les échanges thermique par ébullition ont été, et sont
encore, beaucoup étudiés car il existe tant de formes. Le plus simple est ébullition
nucléée. L’image montre comment les bulles sont formés dans ce cas. Chaque
bulle qui part laisse un genre de racine sur laquelle la prochaine bulle est
formée. Ce phénomène est facilement observable dans une casserole où les bulles
répétitivement émergent des mêmes petites pointes.
En effet, ses pointes ne apparaissent pas par hasard, ils sont
tous des petites imperfections sur la surface. Si elle est très lisse, par
exemple la surface du mercure métallique, l’eau peut attendre jusqu’au 140
dégrées avant de bouillir.
Les ingénieurs de l'Oregon State University ont maintenant
trouvé une nouvelle méthode
pour contrôle où les bulles sont formés. Ils pensent qu’il aura des
applications industrielles pour cette nouvelle manière de contrôler l’ébullition
nucléée. C’est probablement vrai mais comme montre l’image, la côté
spectaculaire est aussi admirable.
Le processus comprend 2 étapes. La surface est premièrement imprimée
avec des « points » d’un polymère hydrophobes. Donné que ce matière
tend à rejeter l’eau, c’est sur ces pointes
que les bulles vont se former. Puis, un nano-structure de oxyde de zinc est
déposé sur le surface. Il est hydrophile mais ne pousse pas sur le polymère. En
contrôlant la distribution entre surfaces hydrophobes et hydrophiles il devient
possible d’inciter les bulles à se former sur des pointes précises.
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