Comme tout petit je parlais le suédois en 3 versions. Le
standard avec ma famille, la version d’île de Gotland avec mais copains et en
les étés le dialecte de Småland où je passais des vacances.
J’ai donc tôt dans la vie
appris de former beaucoup de sons différents, (par exemple les « r »
au bout de la lange et ces de la gorge). Ces facultés sont très difficiles de
développer à l’âge adulte. Une conséquence est que je parle des langues
étrangères avec moins d’accents que normal.
Selon un article publié dans la revue Cognition il
est probable que des locuteurs de plusieurs dialectes peuvent avoir les mêmes
avantages cognitifs que les bilingues. C’est un argument pour laisser les
enfants parler en dialecte.
Les différences entre la Grecque continentale et la Grecque
parlé à Chypre ne sont pas très importants. Deux locuteurs de ces versions ces
comparent sans grande difficulté. Le chypriote a plus de mots d’origine arabe
et turc et aussi de grec classique. Les différences remontent au moins aux
années 1200 quand Chypre et Crète étaient isolées de la Grèce.
Les chercheurs ont déjà étudié les avantages du multilinguisme mais dans ces cas principalement entre langues bien distingues. Mais, maintenant une équipe a trouvé les mêmes avantages cognitifs pour ceux qui maitrisent ces deux versions de grecque.
Les chercheurs ont déjà étudié les avantages du multilinguisme mais dans ces cas principalement entre langues bien distingues. Mais, maintenant une équipe a trouvé les mêmes avantages cognitifs pour ceux qui maitrisent ces deux versions de grecque.
La conclusion des chercheurs est que les sauts entre les
différents dialectes stimulent le cerveau de la même façon que les sauts entre
les différentes langues. Un des avantages est une mieux mémoire.
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