Il arrive de plus en plus que la police doit
interroger des personnes qui ne parlent pas leur langue. N’importe si
l’individu est un suspecte, une victime ou un témoigne la présence physique
d’un interprète est un problème car sa conversation avec l’interrogé risque de se
développe à un sorte de complicité. Dans la grand majorité de cas il est sert
involontaire mais il donne au policier
le sentiment qu’il n’est plus le maitre de la situation.
Ce problème a maintenant eu une solution
technologique. Le système est composé d'écouteurs, microphones et une
unité centrale qui automatiquement commute le son en fonction de celui qui parle et l'envoie via
l'interprète dans la bonne direction.
L'effet est que le
policier voit les lèvres de la personne interrogé bouger
dans une langue étrangère mais qu’il au même temps entende le vois de l’interprète
dans ces oreilles. Il peut donc voir le
langage corporel pendant qu’il entende l'interprète,
Le système rend aussi possible pour l'interprète de traduire à distance
parce que un des liens peut être connectés à un téléphone. Comme bonus l’interprète a moins besoin de
voyager et l’argent est économisé.
Un des défis dans le développement a été d’exclure
des bruits distrayants, par exemple de la rue. Des filtres et un algorithme dans le logiciel qui recherche des
hauts et des basses dans le son, sont la solution à ce problème.
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