La démocratie est très apprécié dans le monde occidentale.
Mais, quand les gens du monde s’expriment sur ce qu’il s’attende d’une bonne
société, c’est l’absence de corruption qui prend la première place. Mondialement
vu le
niveau de la corruption est heureusement relativement bas dans des pays
d’UE.
Cependant il n’a pas toujours été ainsi. La corruption n’a
jamais été légitime, mais autrefois, il y environ 200 ans, toutes formes
de corruption étaient si fréquentes qu’il y avait peu de protestes.
Le période 1719 – 1772 est en Suède appelé L’ère de la
Liberté. Le pouvoir du roi avait été fortement restreint
et sa signature remplacée par un timbre. Dans le parlement il y avait 2 partis, les bonnets et les
chapeaux qui avec la terminologie de nous jours correspondrait à la gauche et
le droit. Le pays était dévasté par des nombreuses guerres et pour maintenir la
paix il fallait créer des liens avec des grandes puissances autours des
frontières tels que la Russie, la Grand Bretagne et la France.
Un exemple typique de décadence est un incident de 1771 qui a rendu les membres
des bonnets furieux parce que la corruption n’a pas fonctionné comme prévu. Après avoir voté conformément à la
volonté de Saint-Pétersbourg, les Russes
étaient en retard de paiement. Pour obtenir ce que
les parlementaires considéraient avoir mérité les
parlementaires de la partie bonnets formulaient une lettre de demande à l'ambassade
de la Russie. Ils exigeaient que plus de trois millions Dalers
de cuivre soient payé en titre de
compensation pour le service rendu.
Aucun politicien suédois
contemporain n’a été particulièrement dérangé par
ce fait. Certains se prétendaient
indigné, mais c’était plus par piété que par réalisme. D’autres
parlementaires ont reçu des
sommes encore plus importantes de l'ambassadeur français.
À l’époque cette pratique n’était rien
d'inhabituel et certainement ne pas
spécifique pour la Suède. La corruption, les pots
de vin et l'espionnage interne fleurissaient
dans tous les pays européens. Les
faits que rendaient les politiciens et
les diplomates le plus consternés, étaient quand le système ne fonctionnait pas. C’est-à-dire si un
fonctionnaire de haut rang soudainement
refusait d’accepter un pot de vin, ou
si un politicien se dévoilait problématiquement honnête. Dans ces cas,
il y avait quelque chose qui n’allait pas.
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