La défense de poison parasitaire

Les entreprises de marketing font toutes qu’ils peuvent pour associé un produit avec des sentiments positifs. Un bon exemple est les pubs pour Coca Cola, qui ont pour but de nous faire croire que la consommation nous rendons heureux.

La réalité est un autre. Voici le point de vue du site mafourchette :

Ce qui se passe une heure après avoir bu une canette de Coca :

C’est un exemple d’un mode d’influence, en anglais appelle : Poison Parasite Défense" (PPD).

Le PPD consiste à copier le message original graphiquement, (parasite), et remplacer les arguments de l’adversaire avec contre-arguments, (poison). La méthode et donc seulement applicable contre des messages déjà existant.

Des chercheurs ont examiné l'efficacité de PPD dans une étude avec le but de révéler l’impact des deux P et une autre option, ridiculisation. Dans un contrôle mesuré deux jours après l'exposition de quelques sujets, ils ont trouvé que le poison a été efficace mais ne pas la parasite ou la ridiculisation.

Pour se débarrasser de tous impacts environnementaux une nouvelle étude a été faite, avec un autre gestionnaire de test et dans une autre pièce. Dans le résultat, mesuré après une semaine, ils ont trouvé que le PPD avait un effet mais ne pas les composants séparément.

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Voici les premières 4 niveaux, (ils sont 7), de jugements selon George Oshawa : Mécanique, sensoriel, sentimental et intellectuelle.    

Les pubs pour Coca Cola sont définitivement sur les niveaux sensoriel et sentimental. Les contre-arguments PPD sont fondamentalement intellectuels, (dopamine, insuline, métabolisme et cetera), mais avec des choix de mots dramatiques et des formulations qui font peur, c’est-à-dire que la présentation est sentimental.

Une règle principal, que ces chercheurs de PPD semble ignorer, est que des contre-arguments sont le plus efficace quand ils sont sur le même niveau de jugement que les arguments pour. La chose n’est donc pas seulement une question de méthode que ces chercheures semble penser.