Pour faire fonctionner tout genre d’appareilles frigorifiques
il faut un liquide/gaz appelé réfrigérant. Comme explique dans l’image c’est en
bas pression que le réfrigérant s’vaporise et absorbe de la chaleur à l’intérieure
du frigo. Puis, un compresseur augment la pression du gaz et en condensant il
libre ce chaleur à l‘extérieur du frigo.
Un réfrigérant idéal doit : Avoir un bon rendement
thermique, ne pas agresser les matériaux de la conception, rester stable, ne
pas être inflammable ou toxique, ne pas trop résoudre d’huile dans le
compresseur et être peu chère.
R12
Le réfrigérant idéal n’existe pas mais un groupe qu’on autrefois
utilisé beaucoup est commercialement appelé Fréons. Ils sont composés de
molécules relativement simples contenant du fluor, F, et du chlore, Cl. Pourtant,
dans les années 1980 il a été relevé que le chlore endommage la couche d’ozone,
qui haut dans l’atmosphère filtres les plus agressives des rayons ultraviolets.
Depuis environ 20 ans l’usage de Fréons est interdit.
Cette décision sage fait que la couche d’ozone lentement se régénère mais il faut encore attendre plusieurs décennies
avant que la situation ne soit normale.
C’est dans ce contexte que nous avons échappé à une vraie catastrophe.
Car, une option aurait été d’au lieu du chlore utiliser une autre substance du
même groupe, le brome, Br, dans les réfrigérants. Brome est 45 – 100 fois plus
agressif contre la couche d’ozone que le chlore.
Ce non-fait mène à l'idée
cauchemardesque que si l'industrie
chimique, dans son ignorance des néfaste impacts de
certaines produits sur la couche d’ozone, avait mis au point
des réfrigérants avec brome, nous aurions été grillé par des
rayons ultraviolets et probablement exterminés.
Donné que les Fréons sont utilisé depuis les
années 1930, ce catastrophe aurait, selon une estimation, pleinement nous frappé
vers les années 1970. C’est-à-dire avant que les chimistes atmosphériques
avaient développé les connaissances
nécessaires pour identifier le problème.
Il est à noter que ne personne pensait aux
conséquences atmosphériques de la libération de chlore ou de brome avant 1974.
L’humanité a été extrêmement
chanceuse.
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