Les diodes dans une ampoule LED, (pour éclairage
ils sont plusieurs), émettent de la lumière bleu. Pour la rendre blanche ces
rayons doivent passer une couche phosphorescente, qui entre autres contiens des
métaux des terres rares, dont l'europium
est un exemple.
Donné la contenu de ces métaux il est évident que cette couche
coûte chère. Pour l’économiser il a été essayé d’utiliser un minimum en
couvrant chaque diode avec une petite couche. Cependant, parce que ces sont des
lieux chaudes, cette arrangement réduit la dureté. Il vaut donc mieux mettre la
couche phosphorescente à l’intérieure du verre, qui évidemment
augment la quantité nécessaire.
Il semble maintenant que des
chercheurs de l'Université Rutger
aux États-Unis ont trouvé une option
moins chère. Dans un article du revu American
Chemical Society ils décrivent comment il est possible de
créer le même effet avec un couche composé de molécules organiques,
qui en outre restent stable plus long temps que celles d’une composition conventionnelle.
En variant la composition les chercheurs peuvent exciter la
couche de briller avec une couleur agréable à l'œil humain. Comme de nombreuses
combinaisons sont possibles, ils utilisent des ordinateurs pour simuler le
résultat. Lorsque une calcule signale un candidat prometteur, ils vont plus
loin et font des tests expérimentales.
Certaines de leurs expériences suggèrent que le coût des LEDs
d'aujourd'hui peut être réduit de 90%, (il y a des raisons à douter ce
chiffre), parce qu’il n’y a plus besoin des éléments de terres rares.
La recherche a donné
lieu à plusieurs brevets américains. Une production
industrielle est actuellement en étude.
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