La transition vers des énergies renouvelables est en cours. En Europe c’est l’Allemagne qui mène la tête et les efforts fait par la France sont dans cette perspective plutôt timides. Pourtant, une étude montre que les ressources vertes pour la production d’électricité en France sont 3 fois plus importantes que la demande actuelle.
Peut-être y a-t-il un avantage d’être un peu
tardive dans ce développement car ces technologies sont loin de matures et des
projets de recherches pour les améliorer sont en cour un peu partout dans le
monde. Ils ne vont pas tous échouer, qui veut dire que les technologies vertes
de demain seront plus performantes qu’aujourd’hui. D’autre part, le coût
d’attendre est que l’industrie français manque une chance de se positionner.
Un des problèmes avec le soleil et le vent
est que ces ressources sont capricieuses. Parfois ils manquent, parfois ils
sont abondants. De lisser ces variations est un des problèmes avec l’énergie
verte.
La Norvège propose une solution. Ce pays est
riche en ressources hydraulique et l’ambition des norvégiens est de devenir la
batterie d’Europe. Lorsqu’il y a un surplus d’énergie sur le continent la
Norvège ferme ses stations hydrauliques et garde l’eau dans les réservoirs. Lorsque
la situation est l’avers la Norvège exporte. Evidemment, cette solution ne
fonctionne pas pour des pays comme l’Italie mais des câbles sous-marins sont en
cour d’installation vers le Danemark et l’Allemagne.
Une autre solution serait d’utiliser des
batteries mais les types existant sont trop chers. C’est pourquoi il y a
beaucoup de recherche sur des principes alternatives d’accumuler
électricité.
Une batterie de type flux utilise 2 réservoirs de liquides externes et 1 réacteur. Dans le
dernier il y a 2 électrodes et 1 membrane sélective. Lorsque la batterie est
déchargée les 2 liquides on la même composition chimique. En chargeant des ions
passent par la membrane qui fait que ce matière et enrichi sur un côté et
appauvri sur l’autre. En déchargeant la procédure est l’inverse.
Maintenait des
chercheurs américains ont trouvé des liquides qui donne
cette type de batterie une capacité de stockage qui est de 70% des batteries
lithium-ion. Les liquides utilisés sont de plus assez banal, des solutions dans
l’eau de zinc, Zn, et iode, I.
Peut-être verrons-nous dans l’avenir des
grandes cuves, similaire à celles qui actuellement sont utilisées pour des
produits pétrolières, mais qui en effet sont des batteries.
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