IBM a réduit la largeur de ligne des circuits électroniques à 7 nanomètres. Théoriquement il est maintenant possible de concevoir 20
milliards de transistors sur
une puce. Cet article
dans FUTURA High-tech donne plus de détails.
20 milliards de transistors
est une quantité énorme et ne pas si loin des environ 130 milliards de neurones
constitue un cerveau humaine. Mais, la comparaison est trompeuse
car un neurone est beaucoup plus compliqué qu’un transistor.
Le diamètre d’un cheveu européen est d’ordre
40 000 nm. La largeur de 7 nm rendrait donc théoriquement possible faire
passer un peu prés de 3000 lignes parallèles sur un cheveu, (en supposant
qu’ils sont placé 14 nm à part).
La lumière visible a des ondes longes de 400
à 800 nm. Il est par conséquence impossible de voir une structure de 7 nm dans
un microscope conventionnelle. Le processus lithographique nécessite une lumière
forte ultraviolette. Ces rayons sont à un grand taux absorbé par les verres
dans le système optique. Donné que l’épaisseur des lentilles varie, l’échauffement
devient inhomogène et par conséquence aussi la dilatation thermique. Un moyenne
d’éviter trop de aberrations à cause de cette effet est d’utiliser une lumière
moins intense. Ce mesure prolonge évidemment le temps nécessaire pour exposition
et aussi le risque que des petites vibrations dans le bâtiment ravage le
résultat.
Les conducteurs sur un circuit électronique sont maintenant
faits en cuivre, (l’aluminium autrefois utilisé créait trop de pertes
ohmiques). Pour éviter des pertes de courant vers la tablette semi-conducteur,
ils sont placés sur une couche d’isolation. Mais, des fuites, beaucoup des
fuites, sont inévitables. Sur 10 000 électrons qui s’approche un transistor il
y a peut-être seulement 5 000 qui arrivent, qui pourrait être suffisante.
Pourtant, quand les électrons sont peu nombreux les lois appris dans les leçons du physique à l’école ne sont plus valables. Dans ces
cas c’est de la probabilité qu’il faut appliquer. Si 10 électrons s’approche un
transistor il se peut que 4, 6, 2 ou même 0 arrivent. Il n’y a pas de
infirmation sur l’épaisseur de ces lignes mais en vue que la largeur n’est que
7 nm, correspondant à 70 atomes qui chacun au maximum ne peut que transporter 2
électrons, on s’approche un limite physique qui sera très difficile à franchir,
voire impossible.
Un autre phénomène est que l’univers est remplit de
particules de haute énergie. Le phénomène de
rayons cosmiques visibles tient son mon à cause des éclats
de lumière qui sont apparu dans les têtes des astronautes en dehors de la magnétosphère de la Terre. Ces particules sont aussi capables de perturber des
systèmes électroniques. C’est pourquoi les satellites hors de la magnétosphère
terrestre doivent avoir des
ordinateur résistant avec des transistors larges et donc plus
consommateurs que sur la terre. J’ignore à quelle taille de ligne il serait un
problème sur la terre mais j’ai le sentiment qu’on aussi, à cause de ce
phénomène, s’approche à une limite.
Maintenant il semble donc que la route vers toujours plus petite
mène à son bout. Cependant, d’autres chemins de compressions sont toujours
possibles, notamment des conceptions sandwichs.
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