Pour une molécule de
gaz la surface de la terre est des
milliers fois plus important que la
superficie formelle d'environ 152
millions de kilomètres carrés. La raison est que
notre atmosphère est plein de minuscules grains de sable. C’est sur la surface de ces particules, de quartz
ou d'autres matériaux naturels, que
des nombreuses réactions chimiques sont maintenues.
Les scientifiques ont pendant longtemps pensé
que de réactions entres gazes ne pourrait pas se produire au moins que la température
soit élevée et surtout en présence d’un catalyseur,
une substance qui facilitent réactions
chimiques.
Deux chercheurs suédois, Peter Szakálos et Gunnar Hultquist ont maintenant réussi à montrer que des réactions chimiques entre gazes aussi se produisent aux températures si basses que la température ambiante et que les surfaces des matériaux naturels sont beaucoup plus actif qu'on ne le pensait. Ce phénomène peut en partie être expliqué par le fait que les surfaces souvent ont été endommagés par des intempéries ou le vent et qu’elle par conséquence sont défectueux et peu lisses, un fait qui favorise des réactions catalytiques.
Deux chercheurs suédois, Peter Szakálos et Gunnar Hultquist ont maintenant réussi à montrer que des réactions chimiques entre gazes aussi se produisent aux températures si basses que la température ambiante et que les surfaces des matériaux naturels sont beaucoup plus actif qu'on ne le pensait. Ce phénomène peut en partie être expliqué par le fait que les surfaces souvent ont été endommagés par des intempéries ou le vent et qu’elle par conséquence sont défectueux et peu lisses, un fait qui favorise des réactions catalytiques.
De bons matériaux catalyseurs
sont rares dans la nature, mais la faible activité catalytique des matériaux naturels est compensée par la vaste surface de contact avec l’atmosphère. La
concentration des nombreuses gazes peuvent donc se
diminuer dans l’air lorsqu’ils avec assistance de ces
particules réagissent chimiquement.
L’atmosphère est principalement composée d’'azote, d'oxygène, de vapeur d'eau et d'argon. Cependant, il n'a pas toujours été ainsi. Avant que la photosynthèse a démarré, il y a environ 3 milliards d’années, il n'y avait pas d'oxygène dans l'atmosphère. Au lieu elle était composée d’azote, CO2, hydrogène et méthane. Dès que des algues ont commencé à produire oxygène, la concentration de ce gaz dans l’atmosphère a lentement augmenté. Ce processus a duré pendant des millions d'années.
L’atmosphère est principalement composée d’'azote, d'oxygène, de vapeur d'eau et d'argon. Cependant, il n'a pas toujours été ainsi. Avant que la photosynthèse a démarré, il y a environ 3 milliards d’années, il n'y avait pas d'oxygène dans l'atmosphère. Au lieu elle était composée d’azote, CO2, hydrogène et méthane. Dès que des algues ont commencé à produire oxygène, la concentration de ce gaz dans l’atmosphère a lentement augmenté. Ce processus a duré pendant des millions d'années.
Actuellement nous avons un équilibre entre la production d'oxygène et la consommation d'oxygène, résultant à un taux
stable d'environ 20%. L'oxygène
est principalement consommé par combustions
biologiques et chimiques et puis recrée comme gaz libre par la
photosynthèse.
Pourtant, aussi les niveaux de nombreux polluants, tels que les oxydes d'azote, du méthane et de l'hydrogène, sont déterminé par leurs productions et leurs absorbations.
Pourtant, aussi les niveaux de nombreux polluants, tels que les oxydes d'azote, du méthane et de l'hydrogène, sont déterminé par leurs productions et leurs absorbations.
Un exemple actuel est
le méthane qui est congelé en grandes quantités dans la toundra et des tourbières. Le
méthane est un gaz à effet de
serre 20 fois plus fort que le CO2. Si entendu
dans l’atmosphère il pouvait d’une manière significative contribuer au réchauffement climatique qui à son tour libèrerait encore plus de méthane,
ainsi créant un cercle vicieux.
Pourtant, la nouvelle recherche montre que cet effet n’est peut-être pas si mauvais. Car les réactions chimiques sur des surfaces transforment une partie du méthane aux gazes beaucoup moins méchantes comme CO2 et l’eau. Le plus que la concentration de méthane augmente, le plus important deviens la décomposition catalytique.
Pourtant, la nouvelle recherche montre que cet effet n’est peut-être pas si mauvais. Car les réactions chimiques sur des surfaces transforment une partie du méthane aux gazes beaucoup moins méchantes comme CO2 et l’eau. Le plus que la concentration de méthane augmente, le plus important deviens la décomposition catalytique.
Que les réactions entre gazes qui
normalement nécessitent une température élevée aussi se produisent à température ambiante et dans la
présence de catalyseurs comme le sable, n’est vraiment
pas si étrange. Bien que la vitesse soit
considérablement réduite, elles ne cessent pas et déjà à 80 C la vitesse
est considérable. Les déserts, qui produisent des milliards de particules
chaque jour, sont donc à l’origine de cette purification.
Un autre polluante est
hydrogène. Pourtant, les
scientifiques ne comprennent pas comment il est réduit.
Il a été observé que l'hydrogène est
consommé près de la surface de la terre, et une action d’enzymes ou bactéries a
été assumé. Pourtant, cet effet a seulement été démontré que dans quelques peu lieu et pour des conditions
spécifiques.
Il a maintenant été démontré que ce sont des réactions sur les surfaces qui contribuent à l‘important consommation d’hydrogène. Sur les grains de sable ce gaz réagisse avec oxygène et forme de l'eau.
Il a maintenant été démontré que ce sont des réactions sur les surfaces qui contribuent à l‘important consommation d’hydrogène. Sur les grains de sable ce gaz réagisse avec oxygène et forme de l'eau.
Sans les déserts nous n’existerions peut-être pas !
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