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jeudi 18 juin 2015

Est une faible disposition pour rythmes la cause de bégaiement ?



Le bégaiement est un phénomène qui touche environ 70 millions de personnes dans le monde. Elle est particulièrement fréquente chez les enfants, mais la majorité qui bégaie, âgés de 3 à 5 ans, s’arrête plus tard.

Ma sœur bégayait quand elle était toute petite. Ce malaise a choqué ma mère qui a tout fait pour aider sa fille de parler correctement. Le technique appliqué par ma mère consistait à laisser tout qu’elle avait dans ces mains et donner ma sœur tous le temps pour s’expliquer. Suivant quelques mois de cette thérapie, ma sœur ne bégayait plus. Ma mère se rejoindrait toute sa vie de cette victoire. Pourtant, la guérison ma sœur a probablement été spontanée.

Il semble que la cause de bégaiement n’est pas connue. Ou, peut-être sont-elles multiples ? Car les traitements proposés sont très différentes. Elles sont toutes efficaces pour certain cas mais ne pas pour d’autres.

Des chercheurs américains font maintenant valoir que la cause fondamentale de bégaiements puisse être une faible disposition pour rythmes. Cela parce que ceux qui bégayent aussi généralement ont une difficulté de les reconnaître.

Dans leur test des enfants devraient écoutaient un métronome. Ceux qui bégayent avaient une difficulté à différencier les battements, tandis que les enfants qui parlaient sans problèmes facilement pouvaient identifier les différents taux.

Des problèmes motrices sont suivant mis en avant comme la cause de bégaiements. Mais, l'équipe de recherche pense que l’explication soit liée à la capacité de parler rythmiquement et sans interruptions.

Une façon de traiter ce malaise serait donc d’entrainer le sens du rythme des enfants. Une observation qui renforce cette hypothèse est que des adultes qui bégaient lors qu’ils écoutent un métronome parlent plus rythmiquement et avec moins d'interruptions.

Les différences entre les enfants bègues et ceux sans problèmes restent aussi après avoir pris en compte le QI et la capacité linguistique. En utilisant de la résonance magnétique fonctionnelle les chercheurs espèrent maintenant pouvoir identifier les zones du cerveau qui sont à l’origine de l'absence de sens de rythmes.

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