Des chercheurs suédois ont engendré des guppies
- un poisson d'aquarium populaire – avec exceptionnellement gros cerveaux et d’autres
avec exceptionnellement petits cerveaux. Un des conséquences a été qui les
guppies de petits cerveaux avaient plus de progéniture que les autres. La
conclusion est qu’un grand cerveau, suit au budget d'énergie, vole l'énergie de
la progéniture, qui devient moins nombreuse.
Puis, les chercheurs ont examiné comment la
taille du cerveau affecte les chances de survie. Pour ce but ils créaient un
environnement similaire aux rivières à Trindade, où les guppies vivent
naturellement. Un cichlidé, qui chasse des guppies, était aussi introduit.
L'expérience a montré que les femelles de
gros cerveaux mieux savaient éviter le prédateur et avaient plus de 13% chance à
survivre. Chez les mâles il n’avait pas de différence.
Une explication serait que les mâles avec
gros cerveaux aussi avaient plus de couleurs et donc étaient plus facile à découvrir
pour le prédateur.
L'expérience donne support pour l’hypothèse établie,
mais si difficile à prouver, que l'intelligence est une faculté qui se développe
par sélection naturelle. Les individués avec un gros cerveau serraient selon
cette idée favorisées par des environnements exigeants et dangereux. Au
contraire, des environnements moins exigeants favoriseraient les individus d’haute
fertilité.
Pourquoi ne serait-il pas le
contraire ?
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