La motivation

 Le mot pied reviens dans autre mots telles que pédagogie, pédale et pédestre. Dans la langue moderne la pédagogie signifie l’art d’enseigner. Cette activité n’a évidemment peu à faire avec nous pieds mais en Grèce ancien il y avait des esclaves qui promenaient les enfants à l’école, d’où la connexion.

La pédagogie est donc une discipline très ancienne. Pourtant, elle est toujours discutée. Un des dernières contributions, Hjärnkoll på skolan, Contrôle cervical de l’école, a été écrit par deux personnes. Le neuroscientifique Martin Ingvar et le journaliste scientifique Gunilla Eldh.

Ils font valoir que école ne doit pas être un champ de bataille entre idéologies, politiciens ou dernières doctrines éducatives et qu’il est temps de considérer la science.

De la nourriture, du sommeil et une bonne motivation. Selon la recherche ces sont les éléments dont le cerveau a besoin pour à apprendre. Mais, ces sont les adultes qui entourent les enfants qui doivent les apporter pour réveiller  - ou tuer – le désir d’avancer. Les auteurs sont aussi d’accord qu’il faut utiliser des grands efforts pour apprendre de la lecture aux enfants, et cela sans délais.

Avec un regarde ou un sourire un enseignant ou un parent communique à un enfant qu’il a bien fait. Il est ainsi que la motivation chez l’enfant se déclenche et aussi son désir de revivre ce succès sentimental, que lui incitera à faire encore plus de progrès.

Ce qui se passe dans cette situation est par Martin Ingvar appelle « le contrat pédagogique ». C’est un accord sous-entendu entre un élève et un éducateur – ou un parent - qui signifie que l'enfant comprend qu’il est important pour les adultes qu’il fasse des efforts pour réussir.

De la recherche montre que les enfants ne sont pas nés avec un système de motivation mais qu’il se met en place à jeune âge. D’avoir une récompense sentimentale, une rétroaction appropriée ou une confirmation qu’il fait des efforts pour réussir fait partie du processus dont l’enfant développe son système de récompense interne et sa possibilité de plus tard s’auto-motiver.

Car, les enfants veulent réussir. Leurs désirs de vouloir découvrir l’aspect positif en découvrant des choses est biologique. C’est quand on a réalisé quelque chose dont on s’est entrainer et a obtenu une reconnaissance, direct ou indirect, qu’on apprend de s’accorder à ce sentiment.

Au début c’est le reçu d’un parent qui compte. Plus tard les enfants sentiront eux-mêmes quand ils ont réussi. Le rôle des parents dans le processus d’apprentissage est donc important pour le développement de la motivation à l'école. Évidemment, ceux qui ont développé une motivation positive à la maison font mieux à l'école.

Mais, il n’est pas toujours le cas. Il y a un groupe d'enfants qui ont eu leurs systèmes de motivation bouleversé - ceux qui ont eu trop d'éloges. Lorsque les parents exagèrent les prestations de leurs enfants, le système de récompenses cervicales est dévalué. Un des pires choses qu’un parent peut faire est de résoudre des problèmes à la place de leurs enfants.

On dit souvent qu'il y a des problèmes avec la motivation des enfants issus de foyers où ils ne sont jamais été loués. Mais, de bien faire fonctionner le contrat éducatif d’un un enfant sur-récompensé et tant difficile.

À arranger des raccourcis pour ces enfants est de les rendre un mauvais service. Un peu de grava dans la machinerie ne fait pas du mal.

Les auteurs mettent aussi un collimateur sur des jeux vidéo. Les créateurs des jeux stratégiques les plus populaires font exactement ce qui déclenche des nouveaux apprentissages. Les récompenses sont faites selon le mérite et la difficulté augmente constamment. Si les appris sont positives, ou non, est une autre discussion.

Les enfants sont des fourmis travailleuses par nature. Leçon numéro un est de ne jamais les enlever la joie de travailler.

Le jugement des auteures du système scolaire suédois est dur, surtout quand il s’agit de compréhension de la lecture. En 1965 la Suède était un des meilleurs pays au monde, cependant, depuis longtemps l’école a pris une mauvaise direction. Les enseignants d’aujourd'hui n’ont simplement pas les connaissances nécessaires pour faire évoluer la vitesse de lecture des enfants. En plus, les ressources pour aider les enfants qui ont des problèmes à découvrir le code de lecture entrent trop tard.

Les instructions pour l'alphabétisation sont simplement incorrectes. Aujourd'hui il est seulement les enfants qui reçoivent un soutien de leurs partants qui passent bien.

Il s’agit de rapidement pouvoir décoder des textes, même quand il y a des mots inconnues où difficiles. Sinon, les enfants lisent sans ne rien comprendre parce que leurs cerveaux sont entièrement occupés par le décodage.

Une méthode d’apprentissage à lire est décrite dans le livre. En bref, les élèves lisent au début des listes de syllabes et plus tard des mots, comme dans des chants rythmiques. Les mots deviennent vite familiers, la vitesse et la sécurité augmente. C’est une méthode d'instruction qui selon les auteures est basé sur une solide connaissance scientifique.

20 minutes à la fois, deux fois par semaine pendant deux mois, seul avec un professeur. C’est la dose nécessaire pour d’une manière significative augmenter la vitesse de lire pour les enfants à l'école primaire qui ont difficultés avec la lecture.

L'étiquette de prix pour cette mesure peut être comparée qu’avec le coût pour la société d'un étudiant qui ne rattrapera jamais la lecture. L’entrainement à lire coûte 300 euros par enfant mais la somme s’éloigne à plusieurs des milles d’euros pour la société pour chaque élève qui quittent l'école sans diplôme.

Les auteurs sont critique vis-à-vis les réformes scolaires actuelles. Au lieu, ils aimeraient voir plus de focalisation sur « les meilleures pratiques ». Quelles sont les facteurs importants dans les écoles qui réussissent bien ?

Une voie de succès semble être d’avoir une focalisation sur un intérêt particulier, par exemple de la musique ou le sport. Quand les étudiants pratiquent ces disciplines intensivement pour atteindre des objectifs de haut rang, ils apprennent vite à reconnaître le sentiment de réussite et peuvent l’appliquer à d'autres sujets.