L’air est un gaz que nous devons respirer
pour survivre. L’air est aussi une métaphore pour ne rien. Peut-être parce
qu’il est léger, (ce qui est une illusion car avec la densité de 1,2 kg/m3,
j’en ai 60 kg dans mon bureau).
Nous connaissons tous l’émergence de la
Chine comme puissance économique et les journaux rapportent de progrès
étonnants presque tous les jours. Dernièrement nous avons appris que la Chine est
la
nation la plus inventive du monde, cela exposés par des
rubriques tels que « miracle de brevetés » ou « explosion
d’innovations ».
Ces rubriques ont apparu suivant un rapport
de l'Organisation Mondiale de la Propriété Intellectuelle (OMPI) ou World
Intellectual Property Organization (WIPO) montrant que
la Chine désormais représente 32,1%
des demandes de brevets mondiaux,
contre 22,3% pour États-Unis. Il est, bien sûr, également en Chine que le nombre de brevets chaque année a augmenté
le plus rapidement. De 50 000 en 1998 à 1,6
millions seulement 15 ans plus tard.
Grâce aux efforts massifs du gouvernement,
la Chine a aujourd'hui un budget de recherche plus important que le Japon ou l'UE. Mais, les autorités du
pays ne se contentent pas seulement d’injecter de l'argent
dans la recherche, ils imposent aussi des objectifs très agressifs qu’il à tout prix faut atteindre.
Le douzième plan quinquennal, (2011-2015), contient un effort rage de R&D, culminant dans le but de produire 2 millions de brevets cette année. De le manquer serait une défaite aussi impensable que l’introduction d'un système multipartisme.
Le douzième plan quinquennal, (2011-2015), contient un effort rage de R&D, culminant dans le but de produire 2 millions de brevets cette année. De le manquer serait une défaite aussi impensable que l’introduction d'un système multipartisme.
Des nouveaux brevets sont
donc encouragés par toutes sortes de primes et subventions. En
outre, il y a aussi des raisons
de soupçonner que les offices de
brevets locaux facilement approuvent
les demandes pour atteindre les objectifs des autorités.
Une mesure courante de l'utilité d’un brevet est d’examiner si une application également a été faite à l'étranger. Quelqu'un qui a la confidence que sa propre innovation est utile ou commercialement viable, devrait raisonnablement aussi lancer son idée à l'étranger.
Une mesure courante de l'utilité d’un brevet est d’examiner si une application également a été faite à l'étranger. Quelqu'un qui a la confidence que sa propre innovation est utile ou commercialement viable, devrait raisonnablement aussi lancer son idée à l'étranger.
Un tiers des brevets
aux États-Unis et le Japon, sont
aussi appliqué à l'étranger et dans l'UE
la moitié. Le chiffre correspondant pour
la Chine n’est que 5%. Ce qui indique que les auteurs sont plus intéressés par les récompenses que les utilités de leurs inventions.
En gros le « miracle » en Chine consiste à des brevets fait par des entreprises locaux, approuvés par des structures nationaux et qui ne jamais apparaissent à l'étranger. Peut-être qu'ils ne laissent même pas les tiroirs en Chine.
Des chiffres sont parfois que du l’air pour plaire les bureaucrates.
En gros le « miracle » en Chine consiste à des brevets fait par des entreprises locaux, approuvés par des structures nationaux et qui ne jamais apparaissent à l'étranger. Peut-être qu'ils ne laissent même pas les tiroirs en Chine.
Des chiffres sont parfois que du l’air pour plaire les bureaucrates.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire
Remarque : Seul un membre de ce blog est autorisé à enregistrer un commentaire.