Le multilinguisme passé
Pendant une période d’environ 200 ans la Suède était une superpuissance et le pays s’étendait à grand vitesse. Le sud de la Suède avait été conquit de Danemark et la Finlande en faisait partie depuis longtemps. L’empire incluait maintenant aussi de nombreux régions dans ce qui aujourd'hui est la Russie, les pays baltes, la Pologne, l'Allemagne.
Un tel conglomérat hétéroclite de régions
différentes du point de vu systèmes judiciaire, privilèges et
langues, était naturellement difficile à gérer. Le pouvoir central se focalisait
sur deux choses : 1. La bonne foi
luthérienne. 2. L'obéissance au roi.
Ce que nous aujourd'hui associons avec un état, une langue commune, n'était pas une priorité. Une campagne pour répandre la langue fut seulement pratiquée dans le sud du pays où les pasteures ne pouvaient plus prêcher en danois ou allemand et il fallait aussi que toutes correspondance soit fait en suédois. Des soulèvements récurrents rendaient ce politique difficile.
Ce que nous aujourd'hui associons avec un état, une langue commune, n'était pas une priorité. Une campagne pour répandre la langue fut seulement pratiquée dans le sud du pays où les pasteures ne pouvaient plus prêcher en danois ou allemand et il fallait aussi que toutes correspondance soit fait en suédois. Des soulèvements récurrents rendaient ce politique difficile.
Le projet prioritaire était de créer de bons luthériens par tout. Pour le faire il fallait naturellement passer par les langues locales. Tout
d'abord, le Petit Catéchisme de Luther
fut traduit en toutes langues régionales
et elles étaient nombreuses. Le sámi dans le nord, le russe,
l’estonien et le lettone dans l’est et la langue indienne
américain lenni-lenape dans la province ouest.
Les habitants de Ingermanland
étaient nés orthodoxe grecque.
On y parlait le vod et l’ingrian, liées à
l'estonien et finnois, maintenant en voie d'extinction. Mais, ces langues n’avaient aucune écriture. Le catéchisme fut traduit en finnois, en lettres
cyrilliques.
En 1627, le roi Gustav
II Adolf ordonna l’évêque de Västerås à faire un voyage d’inspection dans les provinces baltes.
Au retour il décrivit la situation religieuse comme désespérée. Les pasteurs ne savaient
pas les dix commandements. Suivent soules, les paroissiens devrait les aider à monter dans la chaire. Les pasteurs allemandes ne savaient pas parler les langues locales.
Suite a ce critique Stockholm insista que
les pasteurs devrait apprendre les langues des paroissiens. Des manuelles
en estonien et letton fut imprimé et les pasteurs soumis à les lire dans les églises.
Les paysannes dans les provinces baltiques parlaient estonien, letton et livonien. Des écoles avec enseignement en ces langues furent installées. Cependant, l’administration dans les pays baltes utilisait allemand et en Estonie les germanophones avaient un statut juridique particulier solide. En effort de les rendre suédophone eut lieu mais sans grandes succès.
Les paysannes dans les provinces baltiques parlaient estonien, letton et livonien. Des écoles avec enseignement en ces langues furent installées. Cependant, l’administration dans les pays baltes utilisait allemand et en Estonie les germanophones avaient un statut juridique particulier solide. En effort de les rendre suédophone eut lieu mais sans grandes succès.
Autour de la mer baltique vivaient
aussi une population parlant suédoise.
De nombreux d’eux choisissaient d'étudier à l'Université suédophone de Dorpat,
(aujourd'hui Tartu, Estonie).
En plus de le catéchisme
le projet de traduction impliquait aussi les livres
cantiques et la
Bible. Il n’était pas un travaille évident. Beaucoup
de phénomènes dans la Bible n’existaient pas
dans les langues locales. Les
traducteurs luttaient constamment avec le vocabulaire.
En plus de la foi luthérienne la loyauté envers le roi fut un point central. Par conséquent le serment d'allégeance était dit dans les langues locales. Quand Charles XII devint roi, en 1697, l’armé en Estonie et la Livonie prononçait ses allégeances à lui en estonien de nord et estonien de sud. La pastorale de l'armée était aussi dans des langues maternelles.
Toutefois, les commandements dans l’armé restaient suédois. Dans l'armée on ne pouvait pas mélanger les langues.
En plus de la foi luthérienne la loyauté envers le roi fut un point central. Par conséquent le serment d'allégeance était dit dans les langues locales. Quand Charles XII devint roi, en 1697, l’armé en Estonie et la Livonie prononçait ses allégeances à lui en estonien de nord et estonien de sud. La pastorale de l'armée était aussi dans des langues maternelles.
Toutefois, les commandements dans l’armé restaient suédois. Dans l'armée on ne pouvait pas mélanger les langues.
Des nombreux experts dans les domaines militaires,
administratifs, culturels et commerciaux furent parvenus
en Suède pendant l’époque. Ils sont venus pour concevoir la gestion et la vie économique et avec
eux venaient d’autres langues. Surtout, comme dans
la plupart des villes scandinaves,
Stockholm était déjà bilingue, on
y parlait suédois et allemand.
Des familles allemandes dominaient le commerce sur la mer Baltique
et la langue de commerce était
par conséquence allemande. De nombreux
artisans avaient la même origine. Dans les années 1300
le roi Magnus Eriksson avait déjà dans une loi ordonné
que les maires et les échevins dans les
villes serait à la moitié suédophones
et moitié germanophones. L’allemand dominait aussi
la vie culturelle en Stockholm. Le premier lycée de la ville
était germanophone.
Presque tout le monde savaient parler l’allemand mais il s'agissait
d’une langue simplifié et peu correct. Elle était fonctionnelle, mais à peine magnifique. Un auteur de la grammaire de l’époque déclara qu'elle
pourrait causer des volvulus chez
les interlocuteurs allemands ! Suit
à cette influence le suédois absorbait énormément de mots allemands mais
étrangement nul de la grammaire. La langue des vikings, encore parlé en Island,
n’est plus compréhensible.
L’allemande avait une forte position aussi dans
la vie politique car beaucoup de familles nouvellement devenus nobles étaient
allemands. Mais, ils ne dominaient pas totalement et de
mélanger des langues était coutumière. Dans un protocole daté le 16 Octobre
1644 Joachim Transehe
donne son avis sur une dépense en allemand, Louis de Geer répond en
néerlandais, tandis que Class Plantting argumente en
suédois.
À cette époque les gens parlait également français, finnois et russe.
Le français fut introduit avec les Wallons. Cette langue
s’infiltrait lentement chez la noblesse et dans les années 1700 elle avait une
position forte. Cependant, l’anglais était encore étonnamment peu représenté.
Les finnois formaient aussi un groupe important en Stockholm et les entourant. Dans une église il est connu que le pasteur prêchait la fois en suédois et finnois.
En dépit de cette diversité linguistique il y avait un manque d’interprètes. La seule catégorie connue est les interprètes russes. Tout d'abord ils s’occupaient avec la correspondance entre états mais ils assistaient aussi dans le commerce. Ce dernier était même proscrit par la loi.
Dans les sociétés multilingues chaque
langue a suivant une fonction particulière. Le latin était
la langue des savantes. Dans le système
scolaire organisé par la reine Christina fut ordonnée que les élèves parlent du latin pendant les pauses. Tous livres dans
le domaine universitaire étaient en latin. Quand le roi Charles
XII eut voulu changer l’ordre des choses,
les professeurs refusaient. Ils ne savaient
simplement pas comment exprimé leurs sujets en suédois, le vocabulaire
manquait. C’est pourquoi Carl von Linné, mourut en 1778, nommait les plantes en
latin.
Dans les 1700 les provinces conquises
étaient peu à peu perdu est la société multilingue collapsait lentement.
Cependant, jusqu’au 1809, 4 langues étaient encore permit dans le parlement, le
suédois, le finnois, l’allemand et le français.
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