Les rhumes qui frappe
Europe tous les hivers est un exemple d’une maladie respiratoire saisonnière.
Il y a plusieurs explications.
1.
Quand la douceur
arrive nous passion plus de temps à extérieure. Les gens se mettent plutôt sur
la terrasse que dans les restaurants et bars. En air libre il y a plus de
mouvements, qui font que les petites goulettes qui transportent des virus
s’écartent plus vite qu’à l’intérieur. Peut-être que la distance entre
individués aussi s’écarte un peu.
2.
Tous virus et
bactéries sont sensibles à la lumière UV. D’exposer des surface aux rayons UV
est en fait une méthode de stérilisation. C’est effet a probablement peu
d’impact sur les virus qui par goulettes se propageant d’une personne à une
autres mais sur les surfaces exposés au soleil il devrait être important.
3.
Les surfaces dans nos
canaux respiratoires sont protégées par des liquides, par exemple la salive
dans nos bouches. C’est donc un environnement humide et chaud et il y a
beaucoup d’évaporation. Une hypothèse dans ce contexte est que quand l’air
contient peut de vapeur d’eau, ce qui est le cas en hiver, il y a plus
d’évaporation qu’en été, ce qui rend les couches protectrice de liquides dans
le canal respiratoire plus fables pendant les hivers.
(L’air de 50% humidité relative contient à 10 °C, 4,8 g/m3 et à 20 °C, 9,0 g/m3).
(L’air de 50% humidité relative contient à 10 °C, 4,8 g/m3 et à 20 °C, 9,0 g/m3).
Ces effets ne sont pas
spécifiques pour certains virus. Ils devraient donc aussi être valables pour le
COVID-19. Un rapport de l’université de Maryland, Etats-Unis et Université des
sciences médicales, Iran, rend maintenant probable que c’est les cas.
Les chercheurs ont
constaté que toutes les villes connaissant des flambées importantes de COVID-19
ont des climats d'hiver très similaires avec une température moyenne de 5 à 11
°C et un taux d'humidité de 47 à 79% avec une distribution géographique est-ouest
étroite le long de la même latitude 30-50 N. Cette zone comprend Wuhan en Chine,
la Corée du Sud, le Japon, l'Iran, l'Italie du Nord et des parties nord
d’Etats-Unis.
Les données actuelle ne
permettent pas à déterminer Si l’effet saisonnière déjà a joué dans la
situation actuel ou si il jouera quand nous approchons été.
Source :
Temperature,
Humidity and Latitude Analysis to Predict Potential Spread and Seasonality for
COVID-19
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