Un article en Science sur
un variant de riz qui maintenant est connu sur le nom « riz doré » est apparu en 2000. Ce variant est du riz ordinaire
qui a eu un gène supplémentaire, prélevé des jonquilles et qui produise de la β-carotène,
abstenant dans le riz normal.
Un serre en verre de
sécurité extra épais et un berger allemand méchant gardé les cultivassions
expérimentaux. Ces mesures de sécurité était nécessaire pour les protéger de
attaques de plusieurs organisations de écologistes militants, qui par tout
moyen, légales et illégales essayaient d'arrêter le développement.
Selon un rapport de l'OMS
124 millions de personnes dans le monde souffraient à cette époque d'une
carence en vitamine A. Des centaines de milliers d'enfants sont devenus
aveugles et beaucoup décédait suites à ce carence, notamment dans les régions
où le riz constituait une grande partie de l'alimentation.
Les OGM, des organismes
génétiquement modifiés, sur le marché à cette époque étaient visés pour les
besoins des industries et producteurs. Il s'agissait de la résistance accru d’insectes
et herbicides et une durée de conservation plus longue etc. De nombreuses
organisations environnementales étaient contre les OGM et il était facile pour eux
à réveiller des émotions populaires.
Le chercheur qui avait
réussi à faire la modification génétique du riz doré, Ingo Potrykus, était
indépendant, employé par une université et non par une entreprise. Il espérait
que son riz serait accepté par tout le monde. Cependant, il s'est retrouvé au
milieu de la ligne entre l'industrie et le mouvement environnemental.
Sa relation avec le
mouvement environnemental ne s'est pas améliorée lorsqu'il a vendu les droits du
riz à l'une des grandes entreprises. La raison était que la production du riz
doré nécessitait 70 brevets détenus par 32 structures différents. Ingo Potrykus
ne s'estimait pas en mesure à seul gérer la question des brevets. Bien sûr, il
s'est rendu compte que l’acheteur aller utiliser son riz pour affiner sa
réputation honteuse, mais il n'a pas vu d’autres alternatives.
Finalement, il y a eu des
essais sur champs ouvertes, entre autres fait par l'institut international de
recherche sur le riz IRRI aux Philippines et en Inde et Chine.
Maintenant, 2 décennies plus
tard, le riz doré a été approuvé pour la consommation humaine par les autorités
philippines. Un processus qui certainement a été retardé par les militants
écologistes.
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