Un mariage traditionnel se fait dans l'église avec la jeune mariée en robe blanche
et le jeun marie en costume noir. Cependant, les racines historiques de cette
sermonne, et tout que l’entour, n’est pas aussi ancien que pensent les gens.
La
chose se faisait différemment il y a 1000 ans lorsque le christianisme a été
introduit en Scandinavie. A cette époque il suffisait qu’un homme et une femme mutuellement
se promettait la fidélité devant Dieu, sans aucune participation d’un prêtre,
ni témoins.
L’église
catholique à l’époque médiévale était assez contradictoire en ce qui concerne
le mariage. D'un côté, des nombreuses nouvelles règles strictes ont été
introduites pour régler avec qui on pouvait se marier, mais pour l’acte de
mariage il n’y avait aucun rituel officiel. Si un homme disait « non, je n'ai rien promis »,
et l'autre partie, la femme, se trouvé enceinte, elle se trouvait évidemment dans
une position troublante.
C'était
notamment à cause de ces types de problèmes que l'Église et l'État ont introduit
un acte de mariage officiel lorsque la Suède a adopté le protestantisme au
début de XVIe siècle. Cependant, il a fallu attendre jusqu’au 1734
avant que la loi ne stipule que seuls les mariages religieux soient valables.
Même
si la cérémonie du mariage premièrement a été instituée par l’église catholique
en 1215, elle n’est pas devenue une pratique courant en France que dans le XVe
siècle.
En vue
de la longue histoire du christianisme, les mariages en églises sont donc loin
d'être aussi traditionnelles qu'on pourrait le penser.
Une
bonne interrogation dans ce contexte est si les gens autrefois se mariait par
amour, ou plutôt pour des raisons pratiques ou autres ? Les mariages arrangés étaient plus fréquents
dans les environnements de hauts niveaux sociaux, où les facteurs économiques
et politiques pouvaient peser lourdement. Surtout, parmi les royautés qui
parfois se sont marries sans se rencontrés. Cependant, le plus que les gens
étaient éloigné du sommet de la hiérarchie sociale, le plus il semble que les émotions
étaient importantes.
Des
historiens suédois ont trouvé des manuscrits où des gens simples comme par
exemple des filles et des fils de paysans ordinaires expriment des sentiments
vis-à-vis d’autre sexe. Ils témoignent de l'amour avec des expressions tels que
« cœur brûlant » ou qu'ils ne veulent plus se marier, car « maintenant
il a détourné son cœur de moi » et expressions similaires. Il est
difficile à savoir la signification exacte de ces phrases mais l’amour était en toute évidence un facteur
pour ceux qui voulaient, ou ne voulait pas, se marier.
Pendant
l’ère entre la fin du Moyen-Âge jusqu’à la Révolution française de 1789, un
mariage n’était considéré comme achevé au moins que les mariés avaient eu une relation
sexuelle, et cela assez explicitement. Des témoins escortaient la mariée et le marié
jusqu'à la chambre du lit et ils devraient confirmer que le couple s’est couché
ensemble.
Les
actes sexuels avaient aussi une grande importance après le mariage. Car
l’accord d’un mariage incluait que le couple soit d’une seule et même chair.
S'il apparaissait que l'une des marries refusait ce partie du
« contrat » cela pourrait entraîner à une conversation avec le
prêtre, car on considérerait alors que le mariage était dysfonctionnel.
L’acte
de mariage est un autre domaine dans lequel nous avons de nombreuses idées de
ce qui soit traditionnel mais qui ne sont pas du tout vraies. Ce que nous
maintenant considérons comme un mariage « classique » n'est pas particulièrement ancien. La robe
blanche est un exemple.
La
grande majorité des jeunes femmes se mariait autrefois en robe noire, même au
début de 20ème siècle. La coutume stipulée parfois que cette robe aussi soit le
robe d’enterrement. Les gens n'avaient simplement pas les garde-robes si
pleines que aujourd'hui. Dans certaines provinces les futures épouses pouvaient
porter un costume national. Il n’était pas la robe elle-même qui était importait,
mais les enseignes tel que la couronne et d’autres objets de valeur. La robe
blanche était à l'origine uniquement portée par la classe supérieure.
Des
prêtres modernes peuvent témoigner que les coulpes d’aujourd’hui suivant ont une meilleure compréhension pour les
coutumes de mariage américain qu’un mariage traditionnelle suédois. Par exemple
que la mariée devant l’autel soit livrée par son père. Il n’a jamais été une
tradition en Suède et l’église s’est même prononcée contre.
Cependant,
quelque chose simulai a existé, le parrain de mariage. C’est une vieille
tradition déjà mentionné dans les textes médiévaux. Il signifiait que la femme
avait un tuteur, généralement son père, à qui il fallait demander la permission
pour épouser sa fille. Si le père était décédé, la mère ou un autre homme dans
la famille pourrait prendre la fonction. Les devoirs et obligations de ce
parrain étaient inscrits dans une loi 1734. Le texte proscrivait entre autre
que le parrain n’avait pas le droit d'épouser sa fille contre son gré. Cette
loi a été abandonnée assez tard, en 1920
Le
baiser est un autre exemple d’une tradition moderne. En Suède on n’a jamais
fini l’acte du mariage avec l'époux soulevant le voile de la mariée pour l'embrasser.
Cette coutume s’est infiltrée via des films et séries télévisées américains.
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