Les
suédois ont toujours majoritairement confiance aux radio et télévision, 56%,
mais beaucoup moins à la presse quotidienne, 33%. Les chiffres pour la France
sont un peu différentes, télévisons 38%, radio 50% et la presse 44%.
Dans
ce contexte on se demande ce qui signifie confiance ? Les interprétations
de ce qui se passe dans notre quotidienne ont toujours été tendancieux et favorables
aux les buts de médias. L’orientation politique est traditionnellement un
facteur important. Mais, dans le monde moderne, de libre choix et beaucoup d’acteurs,
la concurrence fait qu’il faut attirer autant de consommateurs d’informations
qui possible.
Dans
un tel environnement il est difficile à diffuser des informations déprimantes. Un
exemple est le fait que la dette de l’état français est autour de 100% du PIB
et toujours montant. Chaque enfant est par conséquence né avec une dette
d’environ 35 000 euro. S’il la rembourserait avec 1 euro/jour il lui faudra
100 ans de remboursements. Le fait est très bien connu par politiciens et
journalistes économiques mais comme les gens n’ont pas envie de se déprimer, ni
eux, ni les medias ne diffusent les conséquences qui dans un proche avenir seront
très durs.
Un
autre problème est l’image donné sur le monde où nous vivons. Quand les sports,
les films et des divers autres divertissements dominent, il devint difficile
pour les citoyens de s’orienter vers les réalités à venir. La transformation
énergétique est par exemple peu couverte par les média, pareille pour les
technologies de demain.
Quand
on examine la confiance pour média, il n’est pas seulement le traitement de
faits diffusés qu’il faut juger mais aussi ce
que n’y est pas.
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