L’oxyde de
silicium dans un
microscope
Nous avons
trouver du l’or vert sous la glace artique. C’est ainsi que le startup Swedish Algae Factory se présent sur leur site internet. Il s’agit de Bacillariophytas, ou
Diatomées un groupe de microalges qui vivent sur le fond de la mer.
Les conditions obscures ont forcé ces algues à
développer une capacité extraordinaire à capturer de la lumière et elles le
font dans leurs coquilles composées d’oxyde de silicium, ou « verre nano-poreux
», selon le vocabulaire de l’entreprise. Quand incorporé sur panneaux solaires ce
matériau peut
augmenter le rendement d’au moins 4% pour cellules de silicium et jusqu'à
60% pour cellules
Grätzel.
En plus de capturer de la lumière les coques de ces
algues sont aussi un matériau qui bloque des rayons UV d’une façon extrêmement forte. La société a publié un article sur ce
sujet dans la revue
Scientific Reports.
En forme de pigment le matériau est actuellement testé
comme filtre d’UV dans des crèmes solaires, plastiques et peintures.
L’application le plus proche sera vendue dans le cadre de soins de la peau en
tant qu'ingrédient très respectueux de l'environnement.
Pour produire ces algues il faut, à part de la lumière, une
certaine nutrition. Actuellement elle est fournie par l’eau usée d’une ferme
piscicole voisine. Dans le processus CO2 et minéraux sont absorbé naturellement
qui comme bonus aussi purifie ce résidu.
La biomasse organique à l’intérieure des algues peut
être fourni comme aliments pour poissons, engrais ou carburants.
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