Soit-il possible que des mots dialectaux et des mots
d’une langue étrangère sont différemment traités par le cerveau ? C’est
que pensent les scientifiques en psychologie à l'Université d'Écosse Dundee.
L'étude est publiée dans la revue
scientifique Cognition.
À décrire des limites claires entre une langue et un dialecte est rarement facile. Un exemple est les langues scandinaves, (norvégien, suédois et danois), qui, parce qu’elles ont une transparence de 90%, sont considéré comme des dialectes par les linguistes mais langues par les politiciens. Cependant, les psychologues Écossaises ont trouvé quelque chose qu'ils considèrent comme utile pour faire la différence.
À décrire des limites claires entre une langue et un dialecte est rarement facile. Un exemple est les langues scandinaves, (norvégien, suédois et danois), qui, parce qu’elles ont une transparence de 90%, sont considéré comme des dialectes par les linguistes mais langues par les politiciens. Cependant, les psychologues Écossaises ont trouvé quelque chose qu'ils considèrent comme utile pour faire la différence.
L'étude a examiné comment des sujets - dans ce cas des
locuteurs de l'anglais écossais - ont répondu à des mots. Les chercheurs
suivaient la façon dont le cerveau traitait les mots typiques pour anglais
écossais et anglais britannique respectivement. Leur conclusion est que le
traitement cervical de ces deux catégories ne se distingue pas.
Les participants devraient regarder des images de
différents objets et trouver le bon mot en anglaise britannique. Cependant, quand
ils ont entendu le terme dialectal, le processus à trouver le bon mot est devenu
plus lents. La « confusion » entre l'anglais écossais et l'anglais britannique
a retardé le processus cervical.
Une expérience correspondante a été faite avec des
personnes bilingues en anglais et espagnol.
Quand ils ont dû trouver le bon mot anglaise pour un objecte, ils le faisaient
plus rapidement s'ils entendaient le mot en espagnol.
Les chercheurs l'interprètent cette différence comme si le cerveau a deux vocabulaires distincts en cas de bilinguisme mais qu’un seul, similaire à le vocabulaire de synonymes, en cas de dialecte. Etant si proche fait que la « traduction » devient plus complexe et les réponses plus retardés.
Les chercheurs l'interprètent cette différence comme si le cerveau a deux vocabulaires distincts en cas de bilinguisme mais qu’un seul, similaire à le vocabulaire de synonymes, en cas de dialecte. Etant si proche fait que la « traduction » devient plus complexe et les réponses plus retardés.
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