Des véhicules électriques et autonomes sont beaucoup
discutés ces jours. Les experts nous disent qu’ils seront communs sur les rues
dans quelques années. Ce qui est moins connues est que ces technologies
premièrement font, et feront, leurs entrées dans des applications loin de nos
rues.
Un exemple est machines dans des mines. Parce que les moteurs
diesels émettent des échappements il a été nécessaire d’injecter des quantités
d’air énormes, compté en poids parfois même plus que les minéraux extradé.
C’est pourquoi cette industrie maintenant est en train d’électrifier leurs
parques de machines. Des véhicules autonomes ont aussi fait leurs entrés dans
cette environnement, simplement parce que la situation de la circulation est
beaucoup plus simple que sur des routes.
Un autre domaine où des véhicules électriques et
autonomes bientôt seront profitables est l’agriculture. Le tracteur du futur
ressemble plus à un insecte ou un
vaisseau spatial - au moins ce Dynium
Robot qui bientôt peut atteindre le marché. Le premier prototype sera testé
sur une ferme dans le Herefordshire, Royaume-Uni.
Une autre machine autonome déjà commercialisée est Greenbot, développée par une
société hollandaise.
Il y a beaucoup
d’avantages avec des tracteurs autonomes. Car des machines moins lourdes
compactent moins la terre. En plus, elles rendent l’électrification plus
simple. Une machine automatique et électrique peut travailler plus d’heures qu’une
manuelle. Mais, elle peut aussi faire plus de pauses pour recharger les
batteries qui réduisent le poids des batteries et leur coût.
Des machines à traire automatiques, où les vaches
entrent et se traitent elles-mêmes, et des divers types de guidance par GPS existe
déjà sur le marché. Mais avant que les tracteurs deviennent entièrement automatiques
il faut réviser la législation.
Les règles de circulation d'aujourd'hui sont basées sur la responsabilité du conducteur, mais pour un tracteur entièrement automatique, la répartition des responsabilités doit être revue. Des initiatives pour régler l’affaire ont déjà été prises par divers gouvernements.
Les règles de circulation d'aujourd'hui sont basées sur la responsabilité du conducteur, mais pour un tracteur entièrement automatique, la répartition des responsabilités doit être revue. Des initiatives pour régler l’affaire ont déjà été prises par divers gouvernements.
La nouvelle technologie signifie également une réduction
de la capacité des agriculteurs à réparer leurs machines quand elles tombent en
panne. Au départ cette nouvelle technologie sera coûteuse.
Cependant, ce fait ne semble pas inquiéter les
fabricants de ces nouvelles technologies. « Toute technologie est chère au
début mais en même temps c'est un investissement qui conduit à une productivité
et une durabilité accrues ».
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