L'année dernière les usines de ciment du fabricant
suédois Cementa a rejeté 1,7 million de tonnes de CO2 dans l’atmosphère. À
l'échelle mondiale, la production de ciment représente entre 3% et 5% des émissions
de CO2.
En collaboration avec le fournisseur d’électricité, Vattenfall, Cementa a maintenant commencé un projet avec le but de réduire ces émissions. Il est appelé « cem Zero » et ensemble ils vont examiner les conditions nécessaires pour électrifier un grand parti de la production.
Les ingrédients principales du ciment sont calcaire et l’argile. Tout d'abord, ces deux composantes sont chauffés dans un four avec une température d’environ 900 C. Ce processus est appelé calcination. Ensuite, ce mélange est chauffé à environ 1 450 C, puis refroidi et dans une étape final mélangé avec du sable et du gypse.
En collaboration avec le fournisseur d’électricité, Vattenfall, Cementa a maintenant commencé un projet avec le but de réduire ces émissions. Il est appelé « cem Zero » et ensemble ils vont examiner les conditions nécessaires pour électrifier un grand parti de la production.
Les ingrédients principales du ciment sont calcaire et l’argile. Tout d'abord, ces deux composantes sont chauffés dans un four avec une température d’environ 900 C. Ce processus est appelé calcination. Ensuite, ce mélange est chauffé à environ 1 450 C, puis refroidi et dans une étape final mélangé avec du sable et du gypse.
Les émissions de CO2 proviennent en partie de la calcination
et en partie du combustible nécessaire pour chauffer le four. Le premier est une
réaction chimique inévitable. L'étude examinera s’il soit possible à utiliser
l'électricité pour chauffer le four. Donné que le processus de calcination
actuellement est fait par une combustion interne, ce changement potentiel n’émiettera
que de la pur CO2 qui la rendra plus facile à capturer.
L’usine de Cementa utilise actuellement un mélange énergétique de 40% charbon et pour le reste des différents types de déchets.
L’usine de Cementa utilise actuellement un mélange énergétique de 40% charbon et pour le reste des différents types de déchets.
D'une manière générale il est estimé que la moitié des émissions de CO2 provient de la calcination et l’autre du chauffage des fours. Si la première devient plus pure elle peut être capturé et stocké ou bien utilisé avec une réaction de H2 pour produire du méthanol.
Un défi est que la température dans le processus est
très élevée. Il existe différentes façons d'y parvenir, telles que la
conversion de l'électricité en énergie avec chauffage résistive, plasma ou
micro-ondes. Le but de l’étude préliminaire est de lister les avantages et
désavantages de ces différentes méthodes.
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