The Electricity
Map project a fait un travail impressionnent pour montrer la génération d’électricité
d’Europe en temps réel. Sur leur carte il est possible à suivre le type de
production, les émissions de CO2 et les exportations pays par pays.
Pour la France c’est le nucléaire qui est totalement
dominant. La contribution des énergies vertes, le soleil et le vent, n’est que 4%.
Par contre, en Danemark c’est la production d’éoliennes
qui dominent. En moyenne elle représente environ 50%. Mais, de temps en temps
quand le vent souffle fort pendant des jours de congés, le vent produise plus
que 100% de leur besoin. Si les possibilités d’exportation dans ces cas sont
limitées les tarifs sont conçus de la façon que les ménages sont payés pour
consumer de l’électricité. Cependant, ces occasions sont rares et limités à
quelques heures par ans.
Ce caprice est évidemment un problème pour Danemark. C’est
pourquoi le pays est en train de successivement fortifier les possibilités
d’exporter et importer l’énergie électrique. Sur la carte d’Electricity Map project
ils sont marqués avec des flèches. En cliquant sur Danemark, l’image des donnés
rende clair que ces flux, relative à la production domestique, sont
considérables. En le moment quand cet article est écrit, l’importation de la
Norvège est de 16% et l’exportation vers l’Allemagne de 11%. C’est-à-dire que
le Danemark aussi est un pays transit d’énergie électrique.
Pourtant, l’expansion de
parcs éoliennes continue en Danemark, (qui est le siégé du constructeur Vestas), et maintenant dans la
mer.
C’est pourquoi il faut fortifier les possibilités
d’échanges avec d’autre pays. Le dernier projet est un câble sous-marin, long
de 750 km, vers Angleterre. Il aura la capacité de 1400 MW correspondant à 1/3
de la production domestique.
Par d’ailleurs, la Norvège se lance maintenant comme la « batterie d’Europe ». C’est un pays riche en production hydraulique. Quand le vent souffle fort sur le continent et les prix de la production éolienne sont bas, elle veut en profiter en gardant l’eau dans les barrages et puis ouvrir les vannes pour exporter quand il y a un manque de vent. Évidemment, il faut des câbles pour le réaliser. C’est pourquoi 2 connections sous-marins maintenant sont en train de construction. Un vers Allemagne et un autre vers Angleterre qui seront prés 2020 et 2021 respectivement.
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