Selon un nouveau
rapport de l'Agence de Protection de l'Environnement suédois une éolienne
tue en moyenne 10 à 15 chauves-souris par an. Les chiffres dans le rapport
proviennent principalement d'études en Amérique du Nord et en Europe.
La précision des donnés s’est améliorée au cours des dernières années parce que les enquêtes sont devenues plus structurées. Il est maintenant claire que plus les chauves-souris meurent qu'on ne le pensait auparavant. Cependant, les chercheurs ne savent pas exactement combien ils sont en Suède.
Dans certains parcs éoliens côtiers le taux de mortalité
pourrait être jusqu'à 10 à 12 par installation et an, mais l’incertitude est
encore importante. À l’intérieur du pays ces chiffres sont probablement plus
bas et dans le grand nord la mortalité devrait être très faible.
Il y a 19 espèces de chauve-souris en Suède mais seulement
quelques-unes d’eux sont affectées. Ceux de haut risque sont les espèces qui
chassent à l'air libre au-dessus des arbres. Les espèces qui chassent à proximité
du sol ou de l’eau sont moins affectées.
Les chercheurs ont observé que ces espèces à risque
volontairement s’approchent à des éoliennes. Peut-être cherchent-t-ils à manger
des insectes assis sur la structure ? Une autre hypothèse est qu'ils chassent
les insectes qui ont l’habitude de forment des essaimes autours les plus hauts pointes
dans leur environnement.
Les études ont aussi montrés que les conditions
météorologiques affectent la présence autour des éoliennes. L'activité est plus importante pendant les nuits vers la fin
d’été, lorsque le vent est faible, inférieur à 6 m/s, et la température doux, plus
haute que 14 degrés.
En désactivant les turbines pendant ces nuits, il serait probablement possible à sauver la vie de beaucoup de chauve-souris. Cependant, elles ne sont que quelques-unes par saison et selon un estimât la perte de la production ne serait que 0,3% par ans.
En désactivant les turbines pendant ces nuits, il serait probablement possible à sauver la vie de beaucoup de chauve-souris. Cependant, elles ne sont que quelques-unes par saison et selon un estimât la perte de la production ne serait que 0,3% par ans.
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Livres écrites par des
amies
de Alba Balestri
De Jean Janyn
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