Aluminium est un métal très réactif et forme des liens très
stables avec oxygène. En 1821, quand la bauxite, composé d’environ
50% de Al2O3, a été découvert par Pierre
Berthieren dans le village Baux-de-Provence, il n’y avait pas de moyenne
de l’extrader.
Il a fallu attendre 1860 et le procédé
Deville pour fabriquer le métal aluminium. Ce procédé
est basé sur une réduction avec un élément encore plus réactif, le sodium, et
très cher. Autrefois quand les gens étaient invités à manger chez le roi, tout
le monde mangeait la soupe avec une cuillère d’argent sauf le roi qui avait une
en aluminium.
Quelques siècles plus tard il est
devenu possible de fabriquer l’aluminium avec de l’électricité. Ce procédé est
encore utilisé à nous jours.
Parce que l’aluminium est si réactif
il a été proposé comme un élément de batteries. Cependant, la couche d’oxyde
sur la surface est très stable et difficile à pénétrer.
Très inattendu des ingénieurs
de Technion-Israel Institute of Technology ont maintenant breveté une méthode
d’extraire énergie d’aluminium. Ils ont trouvé qu’un activateur à base de
lithium en présence d’eau modifie les propriétés protectrices de l'oxyde
d’aluminium. Le résultat de cette réaction est hydrogène.
Donné que l’hydrogène est un excellant carburant pour piles
à compossibles, les chercheur voient la possibilité d’utiliser cette réaction
pour avions électriques.
Le désavantage est que la réaction produit beaucoup de
chaleur, c’est-à-dire que le rendement électrique n’est pas très haut. Dans le
article sur leur innovation il n’a pas de chiffres mais si tout le processus,
incluant de régénérer l’aluminium à partir de l’oxyde produit, le rendement est
certainement très bas.
Cependant, en considérant tous les facteurs, par exemple le
poids et la possibilité d’utilisé l’eau usé pour la réaction, les chercheurs
pensent que leur innovation pourrait trouver une application pour avions sans
émissions de CO2.
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