La tête-robot Furhat,
a été mis au point par des chercheurs KTH, Stockholm avec le but d’examiner
conversations interhumaines. L’image montre quelques garçons qui tout en
discutant avec Furhat sont en train de classer des cartes dans la bonne
l'ordre.
Les concepteurs de Furhat veulent comprendre les mécanismes de tours de parole dans des conversations et en particulier dans un environnement de plusieurs personnes. Quand quelqu'un a fini de parler dans un groupe le successeur n’est pas si évident. Le plus suivant il est sélectionné par des petits signaux comme par exemple, à qui on regarde, le ton de la voix ou des gestes.
Les concepteurs de Furhat veulent comprendre les mécanismes de tours de parole dans des conversations et en particulier dans un environnement de plusieurs personnes. Quand quelqu'un a fini de parler dans un groupe le successeur n’est pas si évident. Le plus suivant il est sélectionné par des petits signaux comme par exemple, à qui on regarde, le ton de la voix ou des gestes.
L'objectif est de développer des modèles pour prédire qui
possèdera les prochaines paroles dans une conversation. Les scientifiques envisagent
avec ces modèles pouvoir développer des robots sociaux, qui dans une manière tant
naturelle que possible savent interagir avec nous par le biais de paroles. Ces
types de robots peuvent par exemple servir dans des réceptions ou de guider les
gens dans des centres commerciaux.
Si le robot soit en mesure de converser avec des gens, il doit aussi savoir quand c'est à lui à parler. Un défi supplémentaire est de le faire en temps réel.
Si le robot soit en mesure de converser avec des gens, il doit aussi savoir quand c'est à lui à parler. Un défi supplémentaire est de le faire en temps réel.
Les études des chercheurs ont conclu qu'il y a beaucoup des indices subtils qui indiquent quand quelqu'un veut parler. Si un robot peut fournir les mêmes signaux il aura un fort effet comme partenaire de conversation.
Une fonction testé a été de laisser le robot dire « euh ...
» lorsqu'il veut la parole. Cela a été très efficace mais il devenait aussi
vite fastidieux. Il vaut mieux régler ce problème avec des mouvements des yeux.
Pour instruire le robot quand il est temps de prendre parole
les chercheurs utiliser un logiciel d'apprentissage. L’entrainement est fait
par des conversations enregistrées combiné avec des instructions quand il est
temps de prendre la parole. De plus, le robot doit être capable d'apprendre par
ces propres erreurs, par exemple de ne pas interrompre une personne qui parle
ou éviter des longs silences.
Pendant un séjour dans un musé Furhat a parlé avec 540
personnes. Les enregistrements de ces conversations révélait qu’il étonnement
n’avait aucune différence entre les sexes et cela indépendant si les
interlocuteurs étaient bavard ou non.
Les chercheurs ont aussi testé des différentes stratégies pour que les moins dominant parle plus et les dominantes moins. Si le robot posait une question ou un commentaire ouvert, le résultat le plus courant était que les interlocuteurs dominant continuaient à parler. Mais, si le robot posait une question directe, les dominantes parlaient moins et le moins dominantes parlaient plus.
Donné une bonne faculté d’activement faire taire les plus
dominantes dans une discussion, il est possible que Furhat dans la future soit
un participant apprécié dans des réunions de travail. Mais, cette application
n’est pas encore dans le collimateur.
L’entreprise Furhat Robotics qui maintenant mène le
développement a conclu un partenariat avec deux écoles de Stockholm. Le but est
d’utiliser le robot comme professeur supplémentaire en jouant de cartes avec
les élèves. Ces cartes peuvent être sur n’importe quel sujet dont les élèves
davantage ont besoin de pratiquer. L’apprentissage de langues étrangère, et
surtout des dialogues, sera aussi testé.
Deux exemplaires de Furhat est maintenant dans les
laboratoires de recherche de Disney aux États-Unis. L'idée est qu'ils seront
utilisés pour développer de nouveaux systèmes de robotiques pour leurs parcs
d’attractions. Ces parcs ont déjà
beaucoup de robots installés mais ils sont guidés par des opérateurs.
L’entreprise est aussi en train de développer une version pour personnes âgées atteintes de démence. L'idée est de développer un robot social avec lequel elles peuvent parler de vieux souvenirs alors que le système aussi peut tester si leurs mémoires se détériorent.
L’entreprise est aussi en train de développer une version pour personnes âgées atteintes de démence. L'idée est de développer un robot social avec lequel elles peuvent parler de vieux souvenirs alors que le système aussi peut tester si leurs mémoires se détériorent.
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