Certains textes se répandent comme un feu d'herbe, d'autres
tombent dans le trou d’oubliés. Pour savoir pourquoi des chercheurs américains
ont fait une étude un peu particulière.
Un total de 80 étudiants ont été mis dans un scanner
IRM et incités à lire des articles sur la santé du New York Times. Ensuite
ils devraient sur une échelle de 1 à 5 estimer la probabilité qu'ils partageraient
l’article lu sur Facebook.
Leurs estimations donnaient une assez bonne image de la valorisation réelle de ces articles. Cependant, c’était aussi le cas pour les projections fondées sur l'activité cervicale des étudiants.
Leurs estimations donnaient une assez bonne image de la valorisation réelle de ces articles. Cependant, c’était aussi le cas pour les projections fondées sur l'activité cervicale des étudiants.
Les articles les plus estimés augmentait l'activité dans
certaines parties du cerveau que les scientifiques possiblement pensent
correspondent aux trois fonctions mentales : Des penses sur les pensées
d'autres, l'autoréflexion et réflexions sur la valeur de choses.
Pourtant, il n’est pas clair si le cerveau vraiment possède ce genre de divisions distinctes mais il est absolument clair qu’il existait un lien entre les activités cérébrales et les évaluations.
Les chercheurs espèrent que le résultat conduira à des moyens plus efficaces à juger la popularité de textes.
Pourtant, il n’est pas clair si le cerveau vraiment possède ce genre de divisions distinctes mais il est absolument clair qu’il existait un lien entre les activités cérébrales et les évaluations.
Les chercheurs espèrent que le résultat conduira à des moyens plus efficaces à juger la popularité de textes.
Source : PNAS
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