Dans plusieurs lieux prés de volcans il y a des colonnes de
vapeur qui sort directement du sol, par exemple en Islande, les Philippines et
l’Indonésie. Certains sont utilisés pour générer de l’électricité. Le courant
islandais est à tant que 21% d’origine géothermique.
Il y a aussi des sources de chaleur plus profondes ici et
là. En France ils sont estimés à l’équivalant de
3 réacteurs nucléaires. Evidemment il faut percer à plusieurs kilomètres
pour les accéder, ce qui coûte cher.
Cependant, il n’est plus sûr que les estimas qui ont été
fait sont valable et cela à cause de 2 nouvelles technologies.
Le premier est thermodynamique. Au fond il y a Sidi Carnot
qui en 1824 a montrer que le rendement d’un cycle thermodynamique augment avec
la différence de température entre la source et le puis. C’est pourquoi la température
dans une station qui génère de l’électricité à partir de combustibles fossiles
est très chaude, atour de 500 C, qui donne un rendement de plus de 40%.
Il est évidemment possible de produire électricité à partir
de sources moins chaude mais dans ce cas le rendement devienne plus modeste. À
partir d’une source de 100 C et un puis de 30 C le rendement théorétique n’est
que 19%, qui à case de toutes les pertes dans le cycle n’est pas possible
d’atteindre.
Pourtant, des éjections de chaleur autour de 100 C ne sont
pas rare dans l’industrie mais jusqu’à maintenant elles ont été considéré comme
des pertes inutilisables. C’est qu’a changé l’entreprise Climenon. Avec leur cycle appelé C3, (Carbon
Carrier Cycle), (du CO2 en interaction avec l’eau), il peut attendre des
rendements ne jamais vu pour des sources de températures atour de 100 C.
Une autre technologie récemment développé est la fracturation
hydraulique, c’est-à-dire la possibilité de créer une multitude de fissures à
grand profondeur dans des structures rocheuses. Elle permettrait potentiellement
de faire circuler l’eau dans une source de chaleur de kilomètres de profondeur.
Climeon a maintenant signé un accord
pour tester leur technologie aux États-Unis. Le but est d’extraire
l'électricité à partir de l'eau chaude dans des forages de 2 km existants. La
première étape comprend 8 modules qui produiront 1 MW d’électricité pour un
centre de serveurs.
Pour totalement couvrir le besoin du centre il est estimé
qu’environ 350 modules de totalement 50 MW seront nécessaires. Si les premières
testes sont satisfaisantes c’est une possibilité future et aussi de développer
des unités beaucoup plus gros.
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