De se laisser inspirer par la nature est dans la technologie
devenu une méthode courant. Pourquoi ne pas imiter de toiles
d'araignée dont les fils sont plus forts qu’acier est plus élastique que
nylon. Il est cette combinaison qui rend ce
matériau si ductile, qui dans le langage scientifique correspond à le terme énergie
de rupture élevée. Un matériau de telles qualités sont recherchés dans de
nombreux contextes.
Cependant, ils s’avéraient difficile à produire ces fils en
quantités suffisantes. Une première tentative a été faite dans une ferme française
au début des années 1900. Mais, les araignées n’étaient pas très coopératives
et le projet a fini par un fiasco.
Maintenant on a réussi mieux et cela avec aide de la
biologie moléculaire. En transférant des gènes d'araignées aux bactéries il est
maintenant possible de produire les mêmes protéines que les araignées utilisent
pour leurs fils. De profiter de ce processus pour fabriquer de fins divers est
l’idée de l’entreprise Spiber Technologies,
(l’autographe est correct).
Parce que ces fils sont biocompatibles, c’est-à-dire que le
corps humain ne les rejette pas, le premier produit sera un filet élastique implanté
de cellules musculaires. A cause de l’élasticité cette matière peut être utilisée
pour de la médecine régénérative, par exemple pour réparer des muscles myocardiques endommagés. Des tests sur animaux ont déjà donné
des bons résultats.
Parce que la procédure de la production aussi peut se faire en grand échelle, d’autres applications sont potentiellement possibles. Cependant, donné que les fils sont composés de protéines, il est douteux que de la textile lavable ne soit un produit réaliste.
Vois aussi le film sur cette page.
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