Certaines espèces d’oiseaux dans des villes sont bien aimées
mais ceux qui posent des problèmes, comme pigeons et moineaux,
ne le sont pas. À Marseille il y a un problème particulier avec les goélands leucophées,
une espèce protégé qui en grand partie vive sur déchets. D’autres espèces font
moins de dégâts mais en manque de beau plumages et agréables chansons, ils ne
sont pas particulièrement estimés non plus. C’est la situation pour les choucas et les corneilles.
Cependant, certains de ces oiseaux exercent une fonction
importante. Une étude de l'Université d'Exeter, Angleterre, a découvert que les
corneilles, qui outre que de fouiller nos poubelles et crier
désagréablement, aussi nous aident à nettoyer les villes de carcasses.
Pour ce but les chercheurs ont placé des carcasses de rats
autour de l’université. Avec un peu d'aide de renards, pies, blaireaux et
goélands, il s’avérait que les corneilles se sont occupées de 98% de ces rats
pourris. Sans ces nettoyeurs il aurait des tonnes d'animaux morts dans les
villes provoquant des considérables risques hygiéniques.
Dans certains lieux où les charognards ont disparu il y a eu
des problèmes. Un exemple est l’inde, où
la population de vautours massivement a chuté dans les années 1990. Faut de ces
nettoyeurs les animaux morts ont été mangés par les chiens sauvages. Leur
nombre a considérablement augmenté, ce qui a provoqué une forte augmentation de
cas de rages.
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