À des vitesses normales, c’est-à-dire jusqu'à environ 15
km/h, c’est la résistance au roulement des pneus de vélos qui contribuent à la
majeure partie du travaille nécessaire pour avancer. La résistance de l’air
domine aux vitesses plus élevées.
Donc, pour vitesses modérés il est essentiellement la perte
d'énergie lorsque les pneus se déforment en contact avec la chaussé que les
jambes doivent contrarier. La force de cette résistance varie selon la quantité
de caoutchouc qui se déforme. De augmenter la pression des pneus réduit la
surface de contact et cause moins de déformations, le vélo devient moins dur à pédaler,
mais le voyage aussi plus cahoteuse.
Un autre facteur qui impact la résistance au roulement est la
composition du caoutchouc. Le fait que tous les pneus ne sont pas du même type est
dû au fait qu’il faut trouver un compromis entre toutes les différentes qualités
voulus. Il est par exemple désirable que les pneus ont une bonne adhérence sur bitumes
secs comme mouillés, qu’ils sont silencieux, durable, respectueux de
l'environnement et ne pas trop coûteux. Si on améliore une de ces qualités, le plus
souvent on détériore un autre.
Maintenant il existe aussi l’option des pneus à chambre incorporée.
Il y a des fabricants qui font valoir que ces pneus roulent aussi facilement
que des pneumatiques. Mais, tout dépend de la déformation en contact avec le
chaussé. Une déformation importante rende la balade plus
lisse mais aussi plus dur. Les compromise qu’il faut faire sont les mêmes que
pour des pneus pneumatiques.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire
Remarque : Seul un membre de ce blog est autorisé à enregistrer un commentaire.