Des chercheurs de l’Université de Cornell, Etats-Unis, ont
découvert une variation
génétique qui a évolué dans les populations qui historiquement se nourrit
sur un régime principalement végétarien comme en Inde, Afrique et certaines
régions d'Asie de l'Est.
Une version différente de ce gène, adapté à un régime alimentaire marine, a été découverte chez les Inuits du Groenland, qui principalement consomment des produits de la mer.
Une version différente de ce gène, adapté à un régime alimentaire marine, a été découverte chez les Inuits du Groenland, qui principalement consomment des produits de la mer.
La version végétarienne a évolué dans des populations qui
depuis des centaines de générations mangent un régime à base de plantes. Cette
adaptation permet d’efficacement convertir des acides gras, oméga-3 et oméga-6,
aux composés essentiels pour le développement précoce du cerveau et le contrôle
d’inflammations.
La version chez les Inuits manque toutes les 22 bases
actives de ce gène trouvé chez la population végétarienne de longue durée.
Sur le niveau biologique il s’agit de 2 enzymes le FADS1 et
le FADS2. Ils sont essentiels pour la conversion d’oméga-3 et d’oméga-6 d’origines
végétales en produits actifs. La conversion du gras trouvé dans des viandes et des
poissons nécessite moins d'étapes. Les mangeurs de ces types de produits ont
donc moins besoin de ces enzymes.
Cependant, comme montre la carte, le monde n’est pas blanc
et noire. Même si l’adaptation végétarienne en Europe est beaucoup moins
répandue qu’en Inde, nous sommes presque 50% de l’avoir.
Il devient lentement clair qu’un régime qui est bon pour
tous n’existe pas.
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