Est-ce que je peux venir chez toi ? Oui. On pourrait
penser que se « oui » est absolue. En effet, les « ouis et
nons » sont rarement absolues mais remplies des conditions culturelles.
Le « oui » au-dessus comprend par exemple la
condition que le visiteur ne crache pas sur mon parquette. Il serait évidemment
une insulte de le dire ouvertement parce que nous nous attendons que des gens aient
de la culture. Le souci dans ce contexte est que la normalité et la politesse varie
d’une culture à une autre.
Dans ce contexte il ne faut pas non plus limiter la culture
à l’origine géographique d’un individu. Il existe tant des cultures locales et cultures
des entreprises.
Des emplois modernes comprennent beaucoup de contacts
internationaux. Dans un telle environnant il faut savoir qu’il y a une montagne
de mal compris et même des véritable pièges qu’il faut essayer d’éviter. De
savoir écouter et être réactif est une nécessité. C’est qu’on apprend dans des
workshops de communication interculturelle qui maintenant sont devenu
populaires.
La clef est de trouver de bonnes méthodes de communication. Le
pire est le silence. Il est si difficile parce que dans certaines cultures il
peut signifier qu’on est d’accord mais dans l’autre qu’on est frustré.
Même si on a réussi de surmonter cette difficulté il y a
toujours le problème de la définition de oui et non. Au Japon et Chine la
culture de ne pas perdre la face est par exemple si forte qu'ils
automatiquement disent oui sur la question s’ils ont compris. De dire non
signifierait soit qu’on les a mal expliqués et un tel critique est contre leur
idée de politesse, soit qu’ils ne veulent pas se montrer stupide.
Dans ces cas il faut savoir chercher les non indirects.
« Peut-être » ou « je vais essayer » sont des exemples. Il faut
aussi essayer de trouver les oui directs. Par exemple « oui, je le ferai
avec plaisir », ou une semblable expression d'amplification.
Un autre grand problème est comment les décisions sont
prises. Dans certaine entreprise la hiérarchie est
forte. Un « oui » d’un employé peu inclure la condition « si mon
chef est d’accord » même si il n’est pas ouvertement dit.
Pendant ma vie professionnelle dans une entreprise
internationale avec tant des contacts intérieurs et extérieurs mon liste de
problèmes potentiels est très longe. Je me restreins ici de relater un.
Je travaillais avec le refroidissement des composants
électroniques. Mon grand souci était d’identifier des éventuels problèmes très
tôt dans le processus de conception. « Que faire si…. ». Cette façon
de préparer un plan B, C ou plus, pour couvrir tous éventualités, fonctionnait
très bien à l’intérieure de l’entreprise. Cependant, il comprenait de respecter
que les première données suivant sont approximatives et donc seulement
utilisables pour un scenario hypothétique. Si….
Quand j’ai coopéré avec des entreprise externes mes contacts
ont suivant été avec des personnes qui avait l’idée que tous qui sort d’eux,
pour la réputation de leur entreprise, devrait être absolument correct. Donné
cette restreinte je ne pouvais pas faire mon travail correctement et des grand
projets, avec des budgets de millions, risquaient de finalement échouer sur la question du refroidissement.
Cette difficulté n’a rien à faire avec la définition de oui
et non mais elle est un exemple des nombreuses difficultés qui existe quand on
travaille à travers des sphères culturelles.
Des workshops de communication interculturelle sont bien mais
il ne couvre que les problèmes les plus fréquentes.
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