L’arbre de l’île de pâque

Sophora Toromiro est l'un des arbres les plus rares du monde. Son seul habitat naturelle a été l'île de Pâques, un lieu très isolée dans le Pacifique Sud et célèbre pour ses statues.

Il est dit que cet arbre est venu avec le chef Hotu Matua. Mais les scientifiques ne le pensent pas. Si il avait été le porteur dans les années 400, l’arbre aurait évolué à une espèce distincte en environ un millier d'années, que les botanistes considèrent comme une impossibilité. Leur preuve d’un plus longe existence est des spores de Sophora, vieux de 35 000 ans et trouvés dans la tourbe dans un cratère.

Ces pourquoi l’hypothèse que l'arbre est venu par la mer est le plus probable, car les graines sont très robustes et peuvent supporter l'eau salée pendant plusieurs jours. De plus, l'arbre appartient à la famille des Fabacées, dont il existe une douzaine d’espèces sur d'autres îles du Pacifique.

À cause d’absence bons pollinisateurs, notamment des colibris, une spécificité pour le Sophora est d’avoir développé une méthode de autopollinisation. Le bois est bel et très durable. Autrefois les habitants l’utilisaient pour une variété de choses, des canoës évidemment mais aussi pour des petites statuettes.

Ces sont les pascuans eux même qui en grand partie ont contribué à la extermination. Lorsque l'île a été découverte par les Européens, le dimanche de Pâques en 1722, cet arbre était déjà rare. L'introduction de moutons dans les années 1800 a accéléré le processus. Le dernier arbre a survécu jusqu'en 1962. Heureusement, un archéologue norvégien, Thor Heyerdahl, a lors de sa célèbre expédition sur l’île, 1955 à 1956, a collectionné des graines de ce dernier exemplaire.

Parce que le Sophora beaucoup ressemble d’autres espèce de la même famille, il a été rapporté qu’il soit cultivé dans plusieurs jardins botaniques du monde. Mais, des analyses de l'ADN ont montré qu’il actuellement n’est vivant que dans environs 10 jardins, dont beaucoup au Chili. Cependant, les arbres qui vivent dans une serre du jardin botanique en Göteborg, Suède, restent uniques comme les seuls du monde avec une histoire connue.

Un projet de propagation particulière, appelle micro propagation, a été commencé à l'Université suédoise des sciences agricoles d’Alnarp en 1988. Quand il a pris fin en 1994, près de 200 nouvelles plantes a vu le jour. Une grande partie d'eux a été envoyé à l'île de Pâques mais malheureusement aucune d’eux n’a survécu.

Depuis les années 1960 c’était le 5^ème effort de réintroduction. Cependant, les tentatives continuent.