Une
analyse de 18 villages dans une
région du Nouveau-Mexique donne
une image concrète sur la rencontre dévastatrice
entre les Européens et les peuples
autochtones lors de la colonisation. La population a diminué d'environ 6 500 à
moins de 900 personnes en seulement 60 ans.
Basé sur des sources
contemporaines et des analyses archéologiques
récentes, l’estima est effrayant, plus
de 85% de la population est morte
entre 1620 et 1680.
Les premiers contacts
entre les Européens et les habitants
de la province Jemez dans le nord du
Nouveau-Mexique ont eu lieu en 1541. Mais, le
dépeuplement dramatique arrive 80 ans plus tard, vers les années 1620, quand les missionnaires
franciscains se sont établis dans
la région. La cause probable du déclin est une combinaison entre épidémies,
violences et famines.
Les chercheurs ont également observé des traces d’incendies de forêts contemporaines avec l'exode massif de la population. Une explication serait que ces forêts poussaient sur des champs de cultures abandonnés.
Les chercheurs ont également observé des traces d’incendies de forêts contemporaines avec l'exode massif de la population. Une explication serait que ces forêts poussaient sur des champs de cultures abandonnés.
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