Il y a plusieurs informaticiens dans les
cercles que je fréquent. Certains sont immigrants et aussi fort en anglais.
Leur marché de travail est mondiale et même sans cherchant un autre post ils
reçoivent des offre d’autres pays. Car, dans le secteur informatique il existe
un manque de compétence par tout.
La situation en Suède est presque désespérée.
Le secteur cherche environ 10 000 personnes et de annoncer des postes libres ne
sert plus à grand-chose. Si ne rien est fait ce gouffre sera de 60 000
personne vers l’an 2020.
C’est pourquoi les entreprises suédois maintenant
s’intéresse au Finlande à la chasse d’informaticiens chez les plus de 10 000
personnes qui dans le sillage de la
crise de Nokia ont été libéré. Des représentants
d’entreprises suédois sont les premiers sur place à courtiser cette manne mais
ils ont vite été suivis par d’autres pays dans le nord d’Europe.
Selon un sondage autour de 25-30% de ces finnois disent pouvoir accepter un poste dans un autre
pays. Parce que la Finlande est bilingue environ 20% d’eux savent parler
suédois. C’est guère un avantage dans le travail, qui pour la plus part se fait
en anglais mais il aide beaucoup dans la vie sociale.
Les suédophones en Finlande ne sont
qu’autour de 6% de la population. Cependant, dans des communes bilingues toutes
les écoles enseignent le suédois.
Une subtilité, au moins pour les français,
est qu’une personne qui a le finnois comme langue naturelle est appelé finnois
et celui qui a le suédois comme langue naturelle finlandais.
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