L’historien des idées suédois Leif Runefelt a mené
des recherches sur la perception de
la consommation en Suède au cours
de la période 1720-1820.
Ils ont maintenant été popularisé dans
un livre avec le titre qui traduit en français approximativement
serait De se Précipiter
vers l’Apocalypse. Voici une petite
synthèse :
La consommation répandu à député il y a environ 300 ans. Cette époque est caractérisée par une augmentation du
commerce avec des produits coloniaux tels que café, thé, épices, porcelaine et colorants. Aujourd’hui
ces sont des produits banales mais à l’époque un usage rependu était
considéré comme une menace pour la société existant. L’élite de la
société a lancé un débat sur ces produits, qui était mené dans des revues, des brochures
et même les théâtres. Les arguments étaient de divers
caractères.
Une partie considérait l’homme comme un être
animal - un singe imitant - alimenté par des bas
désirs et sans esprit sains. Dans leurs incapacités à prendre décisions
rationnelles des telles personnes étaient considéré
une menace à l'ordre social.
Un autre type de critique
considérait que tout était mieux auparavant et que
l'homme est devenu superficiel et
vain. De plus, la consommation des femmes était particulièrement
répréhensible. Une femme qui pouvait contrôler sa
consommation était libre et donc une
menace pour le modèle patriarcal.
Cette critique n’était pas seulement des
mots vides, elle a aussi donné des traces dans la législation. La Suède de l’époque
avait ce que l'on appelle des
règlements de l’abondance. Lorsque la consommation de café a été critiquée des
restrictions fortes sur son usage ont suivi. Elles étaient partiellement
motivées par des aspects moraux et partiellement des aspects économiques. À
part de contrer des coutumes mal saintes, il fallait aussi favoriser l'industrie suédoise et ne pas des importations coûteux.
Beaucoup de monde voyaient la hausse de la consommation comme une piste vers la destruction
de la société. Parce que l'homme paraissait
si désinhibée dans sa quête de
luxe, l’ordre social allait vers sa
ruine.
Un des plus pire péchés était de s’habiller, ou se comporter, d’une façon peu convenable à sa position sociale. Il pourrait s’agir de domestiques qui s’habillaient en soie ou des fermiers en vêtements bleus et ne pas le gris traditionnel.
Un des plus pire péchés était de s’habiller, ou se comporter, d’une façon peu convenable à sa position sociale. Il pourrait s’agir de domestiques qui s’habillaient en soie ou des fermiers en vêtements bleus et ne pas le gris traditionnel.
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