Impôts sur CO2, ne pas si radicales

Les sources d’énergie fossile sont limitées. En plus, ces carburant émiettent du CO2, un gaz qui nous savons, et cela avec certitude, chauffe la planète. Pollueur payeur est un slogan des verts français. Étonnement, quand il s’agit de CO2. l’organisation de coopération et de développement économiques l’OCDE est sur la même ligne : Des impôts sur les émissions de CO2 sont le meilleur moyen de les réduire.     

Le premier pays d’introduire un tel impôt a été la Finlande, en 1990. La Suède a suivi l’année suivant et en l’an 2000 il a été estimé que cet impôt avait réduit les émissions de 20%. Pourtant, il ne faut pas croire que cette mesure a été pris par uniquement de la bonne volonté. La réforme faisait  partie d'une opération de transfert de l'impôt pour réduire le coût du travail et donc le chômage.

La France hésite encore et l’effort ce limite à un système de Bonus/Malus sur véhicules et leurs carburants.   

De pouvoir montrer de la bonne volonté en imposant des émissions est naturellement important pour un pays. Mais, il ne faut pas croire qu’ils sont si efficaces. En réalité sont plein de trous. En Danemark c’est en forme d’une liste d’exceptions pour des industries énergivores telles que par exemple les producteurs de ciment.

C’est peut-être étonnant pour certain mais les activités informatiques sont très énergivore, parce que les énormes halls de serveurs nécessaires consomme tant d’énergie électrique.

Maintenant Apple a annoncé qu'il va construire un centre de données prêt de  la ville Viborg à Danemark. C’est un investissement d’à peu près 1 milliard euro qui générera plusieurs centaines d'emplois dans la région. Le Danemark, où environ 50% d’électricité est produit par sources fossiles, y voit une chance à attirer plus d’entreprises similaires. Les autorités sont maintenant engagées dans une discussion sur la meilleure façon de contourner les règles pour pouvoir classer les géantes informatiques comme entreprises énergivores.